Enquête bretonne 1
Datte: 10/03/2024,
Catégories:
fh,
médical,
amour,
Oral
pénétratio,
policier,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... sensuels. Je suis au paradis. Je retrouve son corps magnifique, sa façon unique de serrer et desserrer l’étau de son périnée sur ma queue en fonction de ses envies et de ses besoins. Je n’ai jamais su si elle jouissait vraiment autrefois, tellement elle se maîtrisait, mais quand, après quelques violents mouvements du bassin, je l’entends râler et la sens couler sur ma queue, je n’ai plus aucun doute. Je n’ai pas mon compte, aussi nous poursuivons la séance un bon moment. J’utilise mon Kamasutra personnel longuement avant de finir par exploser avec elle. Nous sommes en sueur, mais nous continuons à nous frotter l’un contre l’autre en nous bécotant tendrement.
Je me lève pour prendre une douche. À mon retour, elle dort, apaisée, avec cette petite figure calme et souriante que je lui connaissais bien. Je ne le dérange pas, je récupère une couverture et m’allonge sur la moquette. C’est curieux quand même cette propension qu’ont ces dames à s’endormir chez moi. Si c’est un effet lénifiant, c’est vexant. Je préférerais un effet tonique, quoique… Allez, bonne nuit, les petits, tout cela nous a amenés bien tard.
*
* *
Le lendemain matin, un peu courbaturé, je me fais offrir le café croissant au troquet du coin pour une mise au point nécessaire.
— Anna, j’ai passé une super soirée, mais je n’ai pas l’intention de me remettre avec toi. J’ai une copine que j’aime beaucoup, et que je n’envisage pas de quitter. Je ferai toujours avec grand plaisir l’amour avec toi, mais ...
... pas plus. C’est trop tard.
Au fur et à mesure que je parle, je la vois se détendre et sourire. Elle me prend les mains et les effleure de ses lèvres.
— Même analyse, Jean. Mais quand tu voudras un gros câlin, je serai toujours d’accord. J’ai rarement pris du plaisir comme hier soir, et j’ai bien envie de recommencer.
— OK, alors si on s’occupait un peu de ta sœur maintenant. Voilà le plan que je te propose : 1 – débuter par Christiane, Patricia et leur bande. On peut, peut-être, en tirer quelque chose. Elles ne t’ont probablement pas tout dit. Et s’il faut donner de son corps, je me sacrifierai.
— Vieux cochon !
— Je fais ça pour toi mon cœur !
— Il est bête. Continue.
— 2 – ma copine justement a de la famille chez les militaires, et de la famille bretonne en plus. Si l’un d’entre eux pouvait me confier le nom d’un gendarme breton qui me prenne au sérieux, m’écoute et agisse, on pourrait avancer rapidement. Je n’ai pas besoin de lui fournir de détails glauques, simplement les faits.
— Tu progresses vite, toi. D’accord.
— Il reste le problème des finances. Je ne travaille plus en ce moment et n’ai plus un sou vaillant. Je peux juste t’offrir le café ce matin !
— Pour le café, ce n’est pas un souci. Pour le reste, je vais essayer de trouver. Tu as besoin de combien ?
— Le train aller-retour toutes les semaines tant que l’enquête dure. Je reviens le week-end ici. De toute façon, on ne peut pas faire grand-chose le dimanche. On en profitera pour faire un point. Les ...