1. Les falaises


    Datte: 09/03/2024, Catégories: fh, ff, douche, noculotte, caresses, intermast, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, rencontre, Auteur: FredN76, Source: Revebebe

    ... fenêtre par laquelle jeter un coup d’œil. En fait de fenêtre, c’est une baie vitrée que je trouvai en faisant le tour de la maison. Millimètre par millimètre, j’approchai ma tête et me risquai finalement à jeter un œil.
    
    Je faillis tomber à la renverse. Dans un beau salon décoré avec goût, à quelques mètres de moi, je vis Madeleine, assise sur un canapé en cuir beige, face à un feu de cheminée, les yeux clos, nue, se tenant les seins. Entre ses jambes, une autre femme, un peu plus ronde, blonde également, était à genoux devant elle, lui léchait consciencieusement le clitoris, et la pénétrait avec un doigt. J’étais tétanisé, à la fois par le froid mordant, la pluie diluvienne qui ne faiblissait pas, et par cette scène d’un érotisme subjuguant. L’inconnue se redressa et sans cesser de la pénétrer avec son doigt, embrassa Madeleine à pleine bouche, malaxant ses seins. Elle rejoignit Madeleine sur le canapé et s’y allongea. Madeleine se leva, vint se positionner au-dessus de la bouche de sa partenaire, et lui offrit de nouveau sa vulve. Elle se pencha alors en avant, et alla chercher la chatte de cette autre blonde incendiaire. J’étais trempé et transi, mais je ne pouvais pas détacher mon regard de la scène. Je ne sais pas combien de temps exactement cela dura, mais j’étais fasciné, totalement. Leurs jeux amoureux avaient provoqué mon érection malgré le froid et la pluie. C’était donc ça, son « pied-à-terre » ? C’était ça, alors, ses « soucis » ?
    
    Alors que leur étreinte ...
    ... arrivait à son terme, je les observai encore. Madeleine était allée chercher une bouteille de vin et deux verres, et elles étaient là, nues sur ce canapé, à se caresser, s’embrasser et à discuter.
    
    J’allais attraper la mort si je restais là, et même si le spectacle était merveilleux, je décidai de rentrer me sécher chez moi.
    
    Je regagnai rapidement la voiture, et pris le chemin de mon appartement. Arrivé enfin chez moi, je me débarrassai de mes vêtements trempés, et entrai dans la douche. L’eau était chaude, c’était un délice. La buée qui commençait à recouvrir les parois de la cabine révéla les empreintes de nos ébats du matin. Je souris.
    
    Je sortis de la douche et me frottai vigoureusement pour me sécher, avant d’enfiler des vêtements secs.
    
    Dehors, l’orage grondait. Je sortis une bière du frigo, et m’affalai sur le canapé, télécommande de la télévision à la main. J’allais l’allumer, quand mon téléphone sonna. C’était elle. J’hésitai un instant, puis je répondis. Je décidai de faire comme si tout se passait à merveille.
    
    — Allo ? lançai-je innocemment.
    — Fred, c’est moi ! annonça-t-elle.
    
    Je pouvais deviner son sourire à l’autre bout du fil.
    
    — Oui ma belle. Ça va mieux ? Tu as pu te reposer un peu ?
    — Je suis tout à fait reposée, et j’ai envie de te voir. Tu passes me prendre pour dîner vers 19 h ?
    — J’imagine que je n’ai pas le choix ? répondis-je, un peu taquin.
    — Absolument pas, c’est un ordre, cher Monsieur.
    — Vos désirs sont des ordres, Ma Dame.
    — À ...
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