1. COLLECTION ADULTÈRE. Une chance de cocu (1/2)


    Datte: 05/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... Tu vas voir si je l’ai dans le cul, je prends mes 20 €, ramassez le reste sinon, vous allez goutter de mon nerf de bœuf.
    
    Il le sort de sous son bar et en donne un violent coup dessus.
    
    • Paulo, c’est nous qui l’avons dans le cul, sortons, je l’ai déjà vu s’en servir.
    
    Je m’exécute, la baronne sensiblement aussi éméchée que moi m’ouvre la porte ma queue toujours hors de mon pantalon.
    
    C’est divin de pisser devant la vitrine de ce connard, j’ai l’impression de venger tous les cocus, comme moi, qui voulaient simplement boire quelques bières.
    
    • Viens chez moi, j’habite à deux pas, j’ai quelques bonnes bouteilles que je réservais pour une grande occasion.
    
    Je suis tellement éméché, que j’arrive devant une vieille bâtisse très délabrée.
    
    La baronne ouvre la porte.
    
    Nous entrons dans un vestibule qui a dû être beau dans le temps, mais cette maison ressemble plus à un squat qu’à une maison d’habitation.
    
    Elle cherche sous un tas d’ordures et en sort une bouteille.
    
    Sur une table avec un pied rafistolé, elle prend un tire-bouchon fait d’un vieux cèpe de vigne, seul accessoire semblant être moderne, mais surtout en l’état de cette maison.
    
    « Ploc. »
    
    C’est le bruit du bouchon qui saute.
    
    • Pommard 2009, ça te va, je le préfère au Bordeaux même les plus grands crus !
    
    Je suis dans un tel état que j’aurais dû sursauter à l’annonce d’un tel vin présent dans cette maison au prix où il coûte !
    
    Car dans ma vision troublée, je vois bien l’étiquette de ce vin ...
    ... et de cette année prestigieuse.
    
    Il va mieux en le disant, que c’est au goulot de la bouteille que nous buvons tour à tour cette pocharde et moi.
    
    Ce vin finit par m’achever.
    
    Quelle heure est-il, je l’ignore, mais je me réveille sur un semblant de lit, les draps ayant certainement été changer des dizaines d’années avant ma visite.
    
    C’est la baronne qui suce ma verge, l’alcool faisant mauvais ménage avec une bite bien tendue, elle s’évertue à me faire une fellation.
    
    Je finis par y arriver et me couchant sur elle, ses jambes relevées, je la pénètre sentant ses poils tout au long de ma verge jusqu’à ce que je sois au fond.
    
    La soixantaine, elle est libre de toute entrave, elle est sans aucune culotte.
    
    Salomé se faisait raser, je me rends compte que ce devait être son amant qui payait l’institut, car à aucun moment, elle m’a demandé de l’argent.
    
    Si le beau Serge payait ce genre de choses, ma femme était une pute se faisant entretenir.
    
    Depuis combien de temps ai-je quitté ma femme et ma maison, je l’ignore, j’ai sur le dos les mêmes vêtements que j’avais le jour de la découverte du cocu que j’étais ?
    
    La baronne est une clodo et je suis moi-même devenu un clodo.
    
    Nous nous faisons virer de partout quand nous faisons les poubelles y trouvant toujours de vieux restes à manger.
    
    La baronne s’absente de temps en temps et revient toujours avec du raisin dans la vieille poussette que souvent, je pousse.
    
    J’ai, moi aussi une préférence pour les vins de la ...