1. COLLECTION ADULTÈRE. Une chance de cocu (1/2)


    Datte: 05/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... lui.
    
    Comme il m’aime ce connard que je t’ai aidé à virer après ta promesse de m’épouser, me comprend et me laisse tranquille.
    
    Il y a deux mois, que depuis ce moment tu viens me prendre comme la chienne que je suis pour toi.
    
    Cannes, dans ta villa où j’allais régulièrement te retrouver dès que nous avons été amants.
    
    Prends-moi comme ta chienne, tu sais que j’adore que tu me pénètres en levrette, tu vas plus loin en moi !
    
    Tu te souviens, je refusais toute position quand je t’ai connu et c’est au bord de ta piscine que tu m’as fait connaître ces plaisirs que je refusais à mon cocu de mari.
    
    Le cocu dont elle parle, c’est bien sûr, moi Julien, 40 ans le dessus de la tête dégarni, mais encore très séduisant.
    
    • Je sais le bébé, aucun risque, il est tout au fond de moi et ta verge même si elle est bien profonde en moi, va y tu me fais si bien l’amour.
    
    À ce moment dans les films, il y avait plusieurs solutions.
    
    Le mari comprenant qu’il était cocu depuis des années par ce fumier de Serge qui m’aura tout enlevé jusqu’à ma femme, prend le marteau posé, on ignore pourquoi sur la table et tuent les deux amants.
    
    Pour le marteau, il faudrait que j’aille dans ma remise au fond du jardin pour y prendre un, mais il y aurait préméditation et de toute façon je suis un non-violent alors je fais ce que font la plupart des cocus.
    
    Je vais dans la salle dans le placard et j’emporte le dossier de mon licenciement.
    
    Je prends ma voiture et je roule jusqu’à ce que je ...
    ... tombe en panne d’essence.
    
    Il fait encore jour, je suis dans une petite rue, j’ouvre mon dossier.
    
    J’avais devant mes yeux, l’achat de cette villa facturé aux frais de la société que je servais.
    
    J’aurais pu m’en servir si j’avais su que Serge la payait frauduleusement.
    
    Je laisse tout dans la voiture en planquant le dossier avec la roue de secours et je pars, sans savoir où je vais.
    
    J’ai eu tellement de galère, que ce dernier coup de poing, j’ai plus que du mal à le digérer.
    
    Je marche, je marche et je marche.
    
    Ça donne soif la nuit venue et je m’arrête dans un café de ce village encore ouvert.
    
    Une bière, deux bières, trois bières, rapidement je perds la notion, au bout du bar, une clocharde me regarde de façon concupiscente.
    
    Elle s’approche.
    
    • Beau blond, m’offres-tu un verre de gros rouge ?
    
    • La baronne arrête d’emmerder les clients sinon je te vire, de toute façon, c’est l’heure où je ferme, monsieur finissez votre verre, vous me devez 20 €.
    
    Merde, j’ai dû arrêter de compter, après le quatrième ou le cinquième, à 2 € le demi, j’en ai dix dans le cornet.
    
    Je comprends pourquoi j’ai une furieuse envie de pisser.
    
    • Donne un verre à ma copine sinon je pisse le long de ton comptoir.
    
    Tiens voilà du pognon, sers-toi !
    
    Je suis certainement fou, je sors une poignée de billets avec de la monnaie ainsi que ma queue, prêt à mettre ma menace à exécution.
    
    • Tu l’as dans le cul Paulo, monsieur est un gentleman et sait plaire aux femmes lui.
    
    • ...