1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1646)


    Datte: 04/03/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... dans mes chairs intimes. Je recommençais à respirer… parce que pendant tout ce temps j’avais bloqué mon souffle comme pour mieux maitriser mes peurs et mes craintes. Markus se fichait bien de mes appréhensions et de mes inquiétudes, il s’intéressait maintenant à mon cul. Il tirait sur les cordes passant sur mon anus pour le dégager afin qu’il puisse introduire ce volumineux plug en métal chromé et brillant. Celui-ci glissait aisément en moi. Alors, une fois le matériel installé, Markus se concentrait sur les branchements de chacun des fils sur cette petite box, pendant que Rémy faisait adhérer les patchs contenant les électrodes sur mon pubis, sur mon périnée, et sur mes couilles tendues et étranglées par le ballstrecher. Peu après, les premiers picotements se faisaient ressentir dans mon cul, puis sur les patchs et enfin dans ma nouille. Contrairement à ce que je craignais, les petits chocs électriques étaient plutôt agréables, du moins pour le moment… Mais à chaque fois que Markus augmentait l’intensité, très rapidement je changeais d’avis ! Le plug anal allait et venait entre mes fesses de plus en plus violemment, tout en vibrant, ma nouille se tendait toujours plus à chaque décharge, mes muscles tremblaient, mes couilles sursautaient… Je râlais… râlais de plus en plus fort, mon corps s’arcboutait, mes pieds prenaient appuis sur la table alors que mon corps se tendait puis se relâchait à chaque fois que l’intensité électrique retombait. Je ne râlais plus… j’agonisais ...
    ... de douleur et de plaisirs incroyablement mélangés que mon corps n’arrivait plus à distinguer la différence entre cette douleur et l’excitation engendrée !…
    
    Pourtant… extraordinairement je sentais monter en moi une irrésistible envie… une envie de jouir, d’éjaculer, de balancer mon foutre… Le plaisir prenait le pas sur la douleur pourtant invasive, d’où ce mélange improbable et si réel. Oui j’agonisais, j’allais m’effondrer, j’allais sombrer sous peu. Je ne maitrisais plus rien, mon cerveau était en vrac, mon corps en perdition. Je n’avais plus la force de parler, de prévenir de mon imminente éjaculation. Une fois encore, mon corps s’arcboutait alors qu’un râle guttural sortait de ma bouche avant d’expédier mon foutre à plusieurs centimètres du bout de ma nouille… Accaparé par l’extase masochiste, mon corps et mon esprit totalement monopolisé par cette incontrôlable jouissance quasi hors norme, j’avais juste et seulement entendu des voix et vu passer des ombres devant moi, sans doute celles de Markus et Rémy, mais d’autres encore… Des larmes de plaisirs et de douleur mêlés, voilaient et troublaient ma vision. Ce fait, alors que je subissais toujours les assauts par vagues successives de ces électrodes dans mes chairs profondes. Telles des tsunamis dévastateurs ravageant mon corps servile, encombrant mon anus dilaté, monopolisant l’intérieur même de ma nouille, irradiant mes couilles et tout mon bas-ventre. Mais les décharges électriques ne me faisaient plus sursauter, ne ...