1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1646)


    Datte: 04/03/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1643) -
    
    Chapitre 44 : Ejaculation et copulation contrôlées -
    
    - … Alors tu ne viendras pas couiner lorsqu’il te la fourrera dans le cul, nous t’aurons prévenu…
    
    Cela faisait maintenant plusieurs jours que j’étais entre les mains de ce pervers Markus, sans savoir précisément depuis combien de temps. J’étais sous son joug étant sans cesse bafoué, rabaissé, utilisé, humilié, dépravé, sans plus aucune moralité. Markus, avec l’aide de son congénère Rémy, m’avaient transformé, converti, métamorphosé… J’étais devenu chienne, une véritable chienne affamée de sexe, une vraie salope de chienne en chaleur, avec ce constant besoin et féroce appétit sexuel de me faire prendre. Pourtant baisé, je l’étais souvent… Très souvent même, le jour comme la nuit, à n’importe quel moment, à n’importe quel endroit, dans n’importe quelle position, j’étais utilisé sans vergogne… Et malgré ça, mon corps réclamait plus encore, comme s’il était drogué d’une addiction vorace et avide. Mon cul, ma bouche imploraient, quémandaient, mon cerveau lui aussi, désirait, espérait, comme si j’étais toujours en manque et privé depuis des lustres de tout contact physique… Bref, j’étais dans cette addiction sexuelle, dans un état compulsif, dans la dépendance et l’accoutumance. Je m’étais vu ce matin dans le miroir de ce qui me servait de salle de bain, juste en sortant de la douche… Une douche prise à ...
    ... quatre pattes, sur un caillebotis en bois posé sur un chiotte à la turque, une douche au jet d’eau froide, pour soi-disant réveiller la chienne qui était en moi et raffermir mes chairs… oui, je m’étais vu ainsi dans cet état de dépravation ! A peine m’étais-je reconnu… Et paradoxalement, je me sentais parfaitement à ma place…
    
    Oui, je me voyais dans cet état de dépravation avec ce teint blême, les yeux hagards perdus dans le vide, avec cette touffe de cheveux immonde sur le sommet de mon crâne, le corps encore strié par des marques rougeâtres laissées par la séance d’entrainement au fouet de la veille au soir, les couilles bien pendantes enfermées et étirées dans un lourd ballstrecher, j’étais méconnaissable ! Markus avait fait de moi une chose, un objet, une chienne, une salope, une pute, en me déconstruisant et en me remodelant selon les Exigences de Monsieur le Marquis qui tirait les ficelles de mon dressage. Oui je m’étais vu aussi avec la bite raide malgré l’eau glacée ! Je m’étais vu frissonnant non pas de froid mais de désirs lubriques, l’air salace et libidineux. Je m’étais vu concupiscent, à la fois lascif et les yeux qui sentaient le cul… je m’étais vu transformé ! Markus avait changé ma nature et ma structure pour n’être plus qu’un objet docile et dépravé, servile et obéissant totalement malléable et perverti. Une fois encore, j’étais allongé sur la grande table, le corps fermement tenu dans des cordages serrés, un bondage à la fois esthétique et extrêmement ...
«1234»