Caprice, orgueil et conséquences 1
Datte: 04/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Bichou2, Source: Hds
... poitrine généreuse, je passe une robe longue noire, fendue sur le côté gauche suffisamment pour laisser apparaitre la jambe jusqu’à la mi-cuisse. Je me trouve sexy, mais pas trop, juste ce qu’il faut.
Entrant dans la chambre, mon mari ne peut s’empêcher de me prendre par la taille, de m’enlacer et de me caresser les seins. Je ronronne comme un chat, me love dans ses bras. Mon plaisir est d’autant plus fort que la rareté de ce genre d’étreinte l’attise.
- J’ai envie de toi mon amour, tu es si belle et sexy comme j’aime.
- Moi aussi, je te veux. Mais laisse-moi terminer de me préparer, ne froisse pas le haut de ma robe, on pourrait voir que tu m’as tripotée !
- Mon amour, on peut voir, mais pas toucher. Ce soir, je te promets la fête, celle dont on se souvient longtemps.
- Coquin, tu me fais déjà mouiller et je vais devoir attendre.
- C’est ce qui excite le plus : le désir non assouvi, l’attente du plaisir. Mets un string que je puisse de temps à autre venir te caresser en guise d’apéritif. D’accord ?
- Ne serais-tu pas un peu pervers ? Je ferai selon ton désir, coquin. Tu pourras te rendre compte de mon supplice…
Nous nous embrassons langoureusement. Au bout de plusieurs minutes très chaudes, nous nous écartons l’un de l’autre, l’heure de départ ayant sonné.
Arrivés au lieu des festivités, mon mari est directement happé par les sponsors. Je lui glisse rapidement à l’oreille que j’ai un besoin urgent à satisfaire, je le rejoindrai dans quelques ...
... instants.
Dans les toilettes, j’en profite pour nettoyer un peu mon string bien mouillé de nos effusions langoureuses, ce qui me prend un peu de temps. Mais la promesse d’une nuit torride m’excite, me mets pratiquement en transe. Pensez donc : cela n’arrive pas souvent et je veux en profiter !
Revenue dans la salle, la foule se presse, compacte, face à l’estrade où la présentation a commencé.
Le président du club a un mot pour chaque joueur qui, à l’appel de son nom, grimpe les marches pour venir saluer les supporters dans un bruit assourdissant où se mêlent les cris et les applaudissements.
Pour rejoindre mon mari, il va falloir fendre cette fourmilière.
Je m’élance donc, courageuse, bousculant quelque peu les participants si bien que je suis obligée de frôler ces corps d’hommes et de femmes. Ils s’empressent de me coller, de profiter de l’occasion pour me serrer, me caresser subrepticement voire me peloter les fesses. Gênée, je ne veux pas faire d’esclandre et ne dis rien mais n’en pense pas moins. Néanmoins, déjà échauffée par la promesse de mon mari, mon string se transforme en éponge à cyprine.
Je continue donc ma traversée (qui n’est pas une traversée du désert, bien au contraire !) et les mains sont très baladeuses et de plus en plus hardies. Bien que je rougisse, peu habituée à ce traitement, le désir généré par les propos et cajoleries de mon mari s’accentue et devient quasi insupportable. Quel supplice pour mes sens. Mais cette attente est délicieuse, et ...