1. Mon bûcheron.


    Datte: 01/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Laurencec, Source: Hds

    ... incontrôlé ! Je gémis, bien ouverte, les jambes enroulées autour de ses hanches. Il se propulse en moi avec une force inouïe. Nous sommes tellement bien synchronisés que j’ai failli ne pas me rendre compte que, lui aussi, jouit furieusement en moi… Nous tombons comme deux masses, haletants, comblés de plaisir. C’est rapide, mais efficace ! Les mots sont inutiles, lui comme moi venons de prendre un pied formidable. Sans nous connaître, évidement la gêne estt quelque peu présente. Nous papotons un peu là, sur le canapé, blottis l’un contre l’autre, quasiment nus… Je lui lâche ne pas avoir eu de relation depuis de longs mois. Comme si je sens le besoin de me justifier ! Il me répond tout en riant que tout va bien. Lui est célibataire depuis 2 ans et très peu de femmes viennent chez lui. Quel gaspillage entre nous ! Un si beau mec !
    
    Le ton est donné ! Pas de blablabla, nous avons tous deux pris plaisir et c’est le plus important. Je sens bien, dans ses propos, qu’il n’a pas besoin d’une quelconque relation et cela me va parfaitement. Pour être honnête, je vais bientôt prendre congé et, toujours allongée sur le divan, je cherche ma robe du regard. Nous plaisantons sur le hasard de notre rencontre et le fait de ne même pas connaître nos prénoms. Je vais alors lui dévoiler le mien lorsqu’il s’empresse de me faire ...
    ... taire, disant que ce n’est pas plus mal de ne pas en savoir plus… Pour lui, je suis son petit chaperon rouge débarqué de nulle part… Je ris, lui répondant qu’il fait bûcheron rustre et robuste… Il rit à son tour et, d’un commun accord, je deviens son chaperon et lui mon bûcheron…
    
    Sur ces belles paroles, alors que je pense reprendre la route, mon bûcheron me sert un jus d’orange plein de bonnes vitamines. Le voir déambuler en slip, dans la cuisine, se pencher vers le frigidaire… oups… je ne suis, en réalité, pas peu fière de m’être envoyée en l’air avec un tel mâle !
    
    Assise, je sirote mon jus de fruit songeant évidement à reprendre la route. Je ramasse ma robe, que je tiens sur mes genoux, cherchant de droite et de gauche où sont mes escarpins, lorsque mon bûcheron se penche sur moi, me saisissant sous les bras de sa main droite, et passant la main gauche sous mes jambes. Oups, je place juste l’avant-bras autour de sa nuque, et le sens me lever comme une plume.
    
    – Tu n’es toujours pas pressée, me demande mon chaperon ?
    
    – Ah ! Mais non… comme je te l’ai dit, je ne suis pas attendue…
    
    Et c’est tout sourire que mon bûcheron me porte, à moitié nue, jusqu’au grand lit jouxtant la cheminée !
    
    Mais ceci fera partie d’une suite, un chapitre de plus à mettre à l’actif de ce mec que je qualifierai de hors du commun. 
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