La blonde, la brune et les deux frangins
Datte: 28/02/2024,
Catégories:
2couples,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
échange,
portrait,
Humour
libercoup,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... souffler un peu, mais ne débandez pas, hein, on a encore envie, pas vrai, Anna ?
— Ah oui alors. C’est nous qui allons vous baiser maintenant, hein, Valentine ?
Et les deux frères furent sommés de s’allonger côte à côte pour une nouvelle variation qui les rendait à la merci des deux quinquagénaires.
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La scène qui suivit aurait stupéfait, et même davantage, tous les observateurs de la vie politique locale depuis des années. Empalées côte à côte sur leur « conjoint », la femme de gauche et celle de droite rivalisaient de roulements de hanches tout en s’observant mutuellement. Quand Valentine se mit sur ses pieds pour s’infliger un pal vaginal aussi profond que sonore, Anna fit de même, remplissant la pièce d’un bruit de peaux claquées assorti de grognements masculins. Quand l’une se retourna pour montrer son cul en mouvement à son baiseur, l’autre l’imita illico. Même topo pour un léger mouvement longitudinal de leur sexe vers la bouche de leur mâle pour un provisoire 69. C’était, si on ose dire, un marquage à la culotte… sans culotte.
Mais ce comportement simiesque finit par énerver les deux frangins. L’un des deux se dégagea pour retourner sa suceuse, l’écartela et lui infligea une rafale de coups de bite, incitant d’autre à faire de même (comme quoi ...
... eux aussi étaient simiesques), si bien que le lit fut l’objet d’un chahut invraisemblable. Il ne s’acheva qu’avec l’orgasme assourdissant des deux femelles, l’éjaculation massive des deux mâles et la fuite précipitée vers les toilettes des premières nommées, l’une étant cependant obligée d’attendre l’autre sans pour autant provoquer d’insultes, ce qui était un progrès.
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Quelques semaines plus tard, au grand étonnement des observateurs patentés de la vie politique locale, une entente inédite se produisit entre la gauche et la droite, tant à la municipalité qu’à la communauté de communes, sur des sujets qui auparavant suscitaient la division. Ces observateurs se perdaient en conjectures sur les raisons de ce consensus totalement imprévisible, surtout en connaissance de l’animosité viscérale entre la maire et la présidente. On évoqua un ordre « venu d’en haut ». D’autres, une paix des braves aux origines suspectes. Mais aucun n’évoqua l’influence des « conjoints », il est vrai, très discrets, et encore moins, et pour cause, les « plans à quatre » devenus fréquents entre les deux couples.
Qu’en conclure ? Rien, si ce n’est que les mutations, ententes et autres rabibochages de la vie politique ont parfois des origines touchant moins à la tête qu’au bas-ventre.