1. La blonde, la brune et les deux frangins


    Datte: 28/02/2024, Catégories: 2couples, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, échange, portrait, Humour libercoup, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... entrouverte, œil suppliant, images mêmes de deux femelles en attente de pénis, totalement oublieuses de leurs rivalités et unies dans la même imploration verbale :
    
    — Allez, baisez-nous !
    — Oui, ne nous faites pas languir.
    
    La pénétration simultanée fut soulignée d’un double cri de plaisir mêlé de soulagement de ventre. Une intense cavalcade commença qui fit trembler le lit sur ses bases, car les deux frères avaient autant le feu à la queue que leur partenaire au cul. Ils se fichaient bien qu’elles aient cinquante balais et pas mal d’heures de vol. Des rides au coin des yeux, de la cellulite sur les cuisses et des seins un peu mous que leurs coups de boutoir rendaient très mouvants. La pression de leurs talons sur leur dos et leurs injonctions verbales, très crues, faisaient bien plus durcir leur queue que des corps parfaits de bimbos. D’autant qu’ils savaient qu’à un moment proche, ils allaient passer de la blonde à la brune et réciproquement. Et ainsi rapprocher deux vieilles ennemies de la meilleure façon qui soit : par le sexe.
    
    C’est ce qui se produisit quand, d’un commun accord, les deux frères se retirèrent de leur compagne, non sans se faire engueuler : « vous faites quoi, là ? », mais les firent taire aussitôt en se remplaçant entre leurs cuisses. Ou plus exactement, en les retournant pour les prendre en levrette et, subtile initiative, en les mettant face à face de chaque côté du lit. Et c’est ainsi que Valentine et Anna, rassurées d’être à nouveau ...
    ... pénétrées, purent découvrir à la fois leur conjoint assaisonner leur rivale, mais aussi s’observer à quelques centimètres dans le plaisir sexuel au point de se sentir mutuellement l’haleine. Les cheveux de la brune se balançaient au rythme des coups de reins du « beau-frère », la bouche de la blonde affichait un rictus témoignant de l’intensité de la pénétration de l’autre. Mais toutes les deux allaient chercher la bite à grands coups de hanches et, entre deux râles, sommaient leur baiseur de se retenir, de poursuivre, sous peine de représailles. Leur exaltation était telle qu’à la stupéfaction des deux mâles, elles se titillèrent mutuellement la langue dans un accès de bisexualité certes limité, mais totalement inattendu. Entre deux râles et deux onomatopées, elles échangeaient même de brèves considérations :
    
    — Tu la sens bien, la queue de mon mec ?
    — Ah oui, ah oui, elle est boooonne.
    — Elle est assez grosse ?
    — Mmmmh oui, une bonne grosse bite. Et toi, tu la sens bien ?
    — Elle est grosse et elle est dure, très dure. Je jouiiis !
    — Allez, les gars, encore, encore, baisez-nous, merde !
    
    Ils ne faisaient que ça, les « deux gars », mais ils se demandaient combien de temps ils allaient devoir limer ces deux dévoreuses qui semblaient en compétition pour les faire gicler. Au bord de l’éjaculation, l’un d’eux se retira, aussitôt imité par l’autre, mais toujours en érections, spectaculaires, verticales, ce qui rassura les deux femelles en chaleur :
    
    — Allez, on vous laisse ...