1. Une météo pourrie


    Datte: 26/02/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: J A, Source: Hds

    ... apaisés. Les jours suivants furent une lente escalade dans l’assouvissement de leurs désirs. Axel avait toujours droit à une fellation sous la douche, qu’ils prenaient ensemble. Au fur et à mesure de son rétablissement, de nouvelles possibilités apparurent.
    
    Au bout de quelques jours, Audrey initia un changement. Elle le coucha sur le dos et sa langue descendit le long de son corps, en n’oubliant aucune zone érogène. Axel était en feu. Elle évita son sexe en érection et descendit encore un peu, puis remonta jusqu’à son entrejambe.
    
    Elle prit son sexe dans la bouche et le lécha sur toute sa longueur. On voyait qu’elle adorait et qu’elle savait y faire. Elle le gardait longuement tout au fond de sa gorge. Avant qu’Axel n’explose elle l’abandonna et se mit à califourchon sur lui.
    
    Elle prit le sexe d’Axel dans sa main et le dirigea vers le sien. Elle était tellement lubrifiée qu’elle put s’asseoir d’un coup sur lui. Elle le chevaucha lentement au début, de peur de lui faire mal, puis emportée par son excitation elle en oublia toute crainte et accéléra, jusqu’à ce qu’elle jouisse en poussant un grand cri. Axel, qui avait à peine pu se retenir, la suivit dans le plaisir.
    
    Ils continuèrent dans cette configuration, jusqu’à ce qu’un jour Audrey s’arrête et prenne son sexe dans la main pour le diriger vers ses fesses.
    
    - J’aimerais essayer avec toi. André n’arrêtait pas de me le demander mais je refusais toujours. Je veux le faire maintenant.
    
    Elle s’assit tout doucement ...
    ... sur lui. Elle fit une grimace et s’arrêta. Au bout de quelques secondes, elle reprit sa progression, lentement jusqu’au bout. Une fois que le sexe d’Axel fut complètement englouti, elle ne bougea plus pendant une minute. Enfin, lentement elle recommença à le chevaucher et accéléra la cadence. Elle réussit à jouir en sentant Axel l’inonder.
    
    Deux semaines plus tard, Axel accepta d’aller voir sa femme, à la ferme. Audrey l’y emmena et attendit dehors. Après avoir sonné, Séverine lui ouvrit la porte.
    
    - Chéri, je te remercie d’être venu, je souhaitais discuter avec toi, qu’on s’explique et qu’on mette les choses à plat. Qu’est-ce qu’elle fait là, elle ?
    
    - Je ne pourrai pas conduire avant longtemps. Audrey a eu l’amabilité de m’amener.
    
    - Elle peut s’en aller, je te ramènerai, si besoin.
    
    - Ce ne sera pas nécessaire, elle m’a promis de m’attendre le temps qu’il faudra.
    
    Séverine fit la gueule, elle pensait le convaincre de rester à la maison et ne s’attendait pas à cette complication. Elle voulut l’embrasser, mais Axel éloigna sa bouche. Elle souhaitait qu’ils s’installent sur le canapé, où ils avaient si souvent fait l’amour, mais Axel se dirigea résolument vers la cuisine et s’assit sur une chaise.
    
    - Mon amour, il faut que je t’explique, c’était un accident, une folie passagère, une passade. Je n’ai jamais aimé que toi. Je n’arrête pas de penser à toi, tu me manques terriblement.
    
    - Par définition, un accident est unique, une folie passagère est brève et une ...