1. Escapade forestière


    Datte: 25/02/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: descollages, Source: Hds

    ... frissonnait. Le parfum féminin réveilla ses narines, et sans comprendre pourquoi sa bite commençait déjà à gonfler d'excitation.
    
    Il faut dire que Madame de Plessis, malgré ses cinq enfants, avait gardé une très jolie silhouette. Beaucoup d'hommes au château de Chambord se branlaient volontiers au beau milieu de la nuit en pensant à elle. Francis en faisait partie bien entendu.
    
    – Eh, bien dites-moi on est pas si mal installés ici messieurs ! lança-t-elle d'une voix joyeuse.
    
    – Je m'en sers comme un affût la plupart du temps. répondit Florian, tout en ajustant l'énorme objectif de son réflexe numérique.
    
    Le grand brun à la carrure de rugbyman gagnait sa vie à photographier les animaux. La forêt était son terrain de jeu. Parfois il lui arrivait de faire de très jolies rencontres.
    
    La dernière en date, c'était un dimanche vers 18 h 00. Une petite salope se faisait régulièrement sauter au même endroit par plusieurs pervers du coin. Autant dire que les murs de la chambre de ce célibataire en étaient tapissés. Les animaux c'est bien gentil, mais une chatte trempée défoncée par une grosse queue semblait beaucoup plus plaisant à contempler.
    
    – Tiens, heureusement que j'ai vidé la carte mémoire, on risque de croiser pas mal de cerfs, il serait dommage de rater un tel événement. dit-il en levant la tête vers le visage de Bérengère de Plessis, devenue songeuse.
    
    De son côté, Roger poussa la très large fenêtre de la cabane vers le haut. Il la bloqua de chaque côté, avec ...
    ... deux tasseaux en diagonale.
    
    – Très bien, il ne reste plus qu'à attendre la meute, vous allez voir c'est formidable ! lança-t-il les yeux détaillant furtivement de bas en haut la robe en dentelle, arrivant à mi-cuisse sur des collants opaques. Ne pouvant s'empêcher de sortir sa langue pour mouiller ses lèvres machinalement, il détourna le regard au bout d'une minute.
    
    Comme elle s'avança un peu vers l'ouverture panoramique, les trois autres restèrent volontairement en retrait, pour contempler les jolies fesses galbées serties d'un string qui marquait trop nettement le tissus de la robe noire.
    
    Florian le photographe, fit mine d'ouvrir sa braguette en mimant grossièrement des mouvements de masturbation très appuyés. Les deux autres étouffèrent de rires, et redevinrent subitement sérieux lorsque Madame se retourna sentant qu'il se tramait quelque chose à son insu.
    
    – Vous prendrez bien un peu de café ? proposa Francis, avec courtoisie.
    
    – Oui, volontiers, avec deux sucres s'il vous plaît. répondit-elle, décidée à s'asseoir sur un tabouret rustique.
    
    Tout en buvant l’infâme chicorée, Bérengère mata à son tour le cul de chaque mâle. Étrangement, elle préférait celui de Francis. Florian, pourtant plus jeune, avait un cul plat sans intérêt. Quant à ce vieux porc de Roger, il était trop gras, cet ivrogne devait au moins s'enfiler un pack de bière par jour.
    
    " Bande de petits salauds, si vous croyez que je suis venue entendre le brame du cerf pendant des heures dans cette ...
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