1. VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (1)


    Datte: 10/07/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... trouvant cela dégradant pour une femme mariée, je l’ai repoussée et depuis, il ne m’en parle plus, j’avais toujours entendu que ces pratiques sexuelles étaient réservées aux prostitués.
    
    Dans nos premiers moments, j’acceptais de me mettre en position de la levrette, un soir qu’il avait réussi à me faire prendre cette position et qu’il avait investi mon vagin, l’idée saugrenue lui est venue de placer sa verge sur mon petit trou et voulue y entrer.
    
    Je me suis retourné et lui ai balancé une gifle, je me suis tout de suite excusée, mais cela la refroidit définitivement.
    
    Bref après huit ans de mariage, je suis une femme qui ne s’assume pas.
    
    Ce qui me sauve c’est que je ne le sais pas moi-même, lors de nos mardis avec les copines, certaines allusions me font douter de mes pratiques sexuelles.
    
    Trop fier pour leur poser des questions sur certains sujets abordés, lorsqu’une question directe me touche, j’ai pris l’habitude de biaiser et jusqu’à ce jour je ne m’en suis toujours pas mal sorti.
    
    Dans notre villa, au fond du jardin mon mari a fait construire un petit chalet au bord d’un bois de bouleaux et de notre piscine qui fait ma fierté, peu de mes amis en possèdent une de plus chauffée.
    
    Autour, des transats me permettent de me faire bronzer intégralement nue n’ayant aucun risque d’être observé.
    
    Pour entrer dans la propriété un portail ne peut s’ouvrir que par un déblocage du système de sécurité.
    
    La seule entorse se trouve au fond du petit bois où un petit ...
    ... portillon toujours fermé nous donne un accès direct à la rivière, Pierre aime aller pêcher en passant par un petit chemin sans avoir à contourner plusieurs résidences.
    
    À la fin août alors que nous avons raccompagné les enfants dans le Sud, je me fais bronzer profitant des derniers rayons du soleil.
    
    Depuis le début de l’été sauf lorsque les enfants étaient là, je n’hésite pas à découvrir mes parties intimes.
    
    Je somnole depuis une heure lorsque le ciel me tombe sur la tête.
    
    • Bonjour, je ne vous dérange pas.
    
    Au pardon.
    
    Ma première réaction est de me croiser les bras sur mes seins oubliant mon vagin qui est offert, doublement offert, car dans ma somnolence l’une de mes jambes s’est écartée et il doit voir le rose de mon vagin qui est entièrement ouvert.
    
    Prenant conscience du spectacle que je lui offre, discrètement je ramène ma jambe et je sers les cuisses sur ma toison aussi blonde que mes cheveux.
    
    L’homme qui est devant moi est le bellâtre qui vient de racheter la propriété voisine.
    
    Il a emménagé avec une bimbo aux gros seins sûrement peu naturels.
    
    Le peu de fois où je l’ai vu, un mouvement de rejet, c’est fait sentir en moi.
    
    • Par où êtes-vous entré ?
    
    • Par le petit portillon derrière votre petit bois !
    
    • Était-il ouvert ?
    
    • Je ne me serai pas permis d’entrer sinon !
    
    • Pierre a dû oublier de le fermer.
    
    Je protège toujours mes seins et trouve puérile de cacher mon vagin après ce qu’il a déjà vu de moi.
    
    Mieux, il s’assoit sur la ...