VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (1)
Datte: 10/07/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Je publie le début de cette saga pour faire profiter les lecteurs de H.D.S. d’un des quatre livres que j’ai publiés et vendus aux éditions Edilivre, sur papier et e-book, ces textes ont été écrits en même temps que « BCBG » ou le « CHANTIER, » je fais simplement un travail de fractionnement.
J’habite dans la banlieue de Valenciennes dans le nord de la France, j’ai vingt-six ans et à ce qui m’est dit, je suis une jolie femme blonde, j’ai même entendu dans la rue un homme s’approcher de moi et me glisser à l’oreille que j’étais « bandante.
Mon mari me dit souvent, Léa tu ferais bander un mort.
J’ai deux enfants qui sont élevés par mes beaux-parents près de Sète, l’aînée est une fille de 8 ans et ½ et le petit un garçon de 7 ans.
Nous nous sommes mariés Pierre et moi, car nous avons fauté une seule fois qui a été la bonne, je venais d’avoir 18 ans et je ne connaissais rien de la vie, nos familles se sont dépêchées de publier les bans pour éviter tous les ragots, ma fille est née avec une maladie demandant beaucoup de soleil.
Sa maladie pourrait s’aggraver à Valenciennes.
Nous avons envisagé d’aller habiter dans ces régions ensoleillées, mais il était difficile de délocaliser la boîte de haute technologie que mon mari a créée à Valenciennes.
Les chercheurs auraient été obligés de changer de vie pour nous suivre et nous aurions eu du mal à en recruter de si performant.
La seule solution a été de les faire vivre chez mes beaux-parents qui se sont retirés ...
... près de Sète, nous n’avons pas voulu séparer les 2 enfants et je vais les voir en avion une fois par mois.
Familialement je suis fille unique, j’ai perdu mes parents à quelques mois d’intervalle, il y a deux ans, nous vivions, nous aussi dans la banlieue de Valenciennes, je n’ai jamais connu d’autres personnes proches de nous.
La situation de mon mari ne m’oblige pas à travailler, même à la maison j’ai une aide-ménagère et entreprise de jardinage qui entretient les 4000 mètres carrés de terrain et les 200 mètres de la maison de plain-pied.
Mon seul plaisir, c’est de me coucher tard pour me lever tard.
Tous les mardis après-midi je vais prendre le thé dans un salon avec cinq copines. Nous restons deux heures ensemble à nous raconter les derniers ragots à la mode sur les habitants de Valenciennes.
Question sexe, Pierre et moi, même si nous faisons l’amour une fois par semaine, nous n’avons pas une imagination débordante, il y a peu, nous nous sommes enguirlandés, car lorsqu’il désirait me prendre, je relevais simplement ma chemise en pilou jusqu’à ce que mon vagin soit dégagé, depuis je fais un effort et j’ai repris l’habitude de la retirer, il s’est même permis en rigolant de me dire.
• Un jour il faudra que je t’envoie au bordel en Belgique, cela t’apprendra à vivre.
J’étais tellement offusquée que j’ai refusé qu’il me fasse l’amour pendant presque un mois.
Au début de notre relation, Pierre une ou deux fois m’a présenté sa verge pour que je la suce, ...