1. La perversion d'Ophélia


    Datte: 22/02/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: descollages, Source: Hds

    ... régulateur de vitesse à 120 km, puis lâcha la main droite du volant. Ses pieds désormais libres, Jean-Pierre pouvait plus aisément commencer la petite caresse de son index.
    
    Prise d'une sensation de bien-être, la passagère ferma les yeux se laissant totalement aller. Le doigt expert s'attardait sur la petite boule turgescente encore cachée par le tissu. Mais très vite, fut libérée par le bienfaiteur, qui continuait de la titiller gentiment.
    
    Ophélia tendit les jambes pour se décontracter, oubliant tout le reste. La fumée de cigarette avait envahi la voiture, elle appuya légèrement sur le lève-vitre pour laisser passer un peu d'air. Un vent violent dû à la vitesse sifflait, et perturbait par la même occasion l'atmosphère artificielle de la climatisation.
    
    Ne perdant pas de vue la route, Jean-Pierre entreprit de dénouer les deux lacets qui serraient beaucoup trop fort les nichons outrageux de la petite brune alanguie. Malgré le manque d'aisance, il finit par arriver à ses fins.
    
    D'un seul coup, les deux lourdes mamelles finir par céder. Libérer de leur apesanteur, elles étaient désormais toutes découvertes, offrant la vision des mamelons foncés aux pointes dressées vers le ciel, en attente de caresses prolongées. Le doigt en crochet fini par écarter les pièces de tissu de chaque côté pour montrer la magnifique poitrine dans sa totalité.
    
    – C'est ce que j'appelle, une jolie paire de nichons ! murmura-t-il, tout en prodiguant ses petits soins bien dirigés.
    
    – Ils te ...
    ... plaisent ? Ma meilleure copine en est presque jalouse, tu sais ! Mais j'ai l'impression que tu vas devoir regarder un peu mieux ta route, on a frôlé d'un peu top près le dernier poids-lourd... dit-elle faussement concernée par la petite embardée. D'autant plus que j'arrive pratiquement au filtre...
    
    – Reste les nibards à l'air tu veux bien ? supplia-t-il, le visage grimaçant.
    
    – Comme tu voudras... répondit-elle, écrasant lentement son mégot, pour le jeter par la vitre entrouverte.
    
    – Tiens, tu peux me prendre le CD dans la boîte à gants, j'en ai marre de me coltiner les pubs en boucle. proposa-t-il, ne se lassant pas de caresser les globes de chair laiteux affriolants.
    
    Ophélia enleva son haut qu'elle balança à l'arrière, puis se pencha en avant pour ouvrir le large clapet. Curieusement, il n'y avait qu'un seul CD. Elle le saisit et examina sa pochette. Un homme androgyne, aux oreilles décollées, fumait une interminable cigarette. Décidément.
    
    Puis, elle plaça le disque laser dans la fente... un petit moment de silence... et les cris d'une femme rugirent d'un seul coup, dans un mélange de boîtes à rythmes des années quatre vingt. Le moins qu'on puisse dire, c'est que le morceau sortait des tubes Fm insipides... il frôlait l'indécence !
    
    – Le morceau dure huit minutes exactement ! Je veux que tu danses pour moi... Mets-toi à poil, ne sois pas timide... je suis certain que ça va te faire mouiller... proposa Jean-Pierre qui sentait sa queue lui faire de plus en plus ...
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