1. Régénération Dégénérée


    Datte: 21/02/2024, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... pas et Antoine ne dit rien, cela faisait sûrement partie des « remerciements ». Mes nichons me parurent soudain m'entrainer vers le sol, comme si le regard vicieux du type les inclinait dans cette chute lourdingue. Le gothique les palpa avidement. Il était évident que le vendeur prenait du plaisir à les malaxer et les relever, puis à les faire sauter dans ses mains comme s'il soupesait des bourses remplies de monnaie. Il jouait avec... et ça me plaisait. J'aimais la vulgarité avec laquelle il usait de mes loches comme des jouets. Plus le gars plantait ses doigts dans mes nichons, serrait, compressait, imprimait ses marques, plus je me sentais comme une source de plaisir faisant jaillir son liquide. Car je mouillais, je mouillais à la folie d'être ainsi exposée et paluchée dans ce lieu public comme une vulgaire trainée. Le vendeur manipula et serra si fort mes tétons qu'un jet de lait jaillit. Il rigola et recommença en pinçant méchamment mon mamelon. Je me retins de crier. Au bout de quelques secondes, je faillis le supplier de me tordre le nichon, car la douleur accroissait mon plaisir, m'amenait au bord d'une jouissance inconnue. Le gothique n'en finissait pas de tirer et tordre mes mamelles, mais à présent que mes cris et gémissements les avaient attirés, des voyeurs et des voyeuses mataient le spectacle avec un intérêt non dissimulé. Mon tourmenteur le commentait en me rabaissant au niveau de la truie, s'étonnant que des yeux habitués à des tenues physiquement parfaites ...
    ... puissent s'intéresser à mes mamelles misérables aussi fatiguées qu'à l'évidence elles ne pourraient servir qu'à branler des queues ou illustrer les terribles lois de la gravité. Tout en pinçant les tétons, il secouait mes loches dont la chair s'agitait par vagues, puis il les lâchait d'un seul coup pour qu'elles s'écroulent lamentablement sous leur poids et l'inertie du mouvement. Après un long moment de ce traitement dégradant et douloureux, il me laissa ainsi et proposa à deux filles de me sucer les tétons : « y'a du bon lait là-dedans! » dit-il plein d'un mépris dédaigneux. Il verrouilla définitivement le collier métallique autour de mon cou. Le claquement sec du verrouillage me transperça l'esprit et la chatte, et me secoua comme un fétu de paille. Il scellait ainsi le discours que nous avait tenu Madame Amélie dans son appartement : c'en était mon acceptation et ma signature, j'étais moins qu'une chienne, une esclave. Ce vendeur était en réalité un vendeur d'esclaves, il allait me proposer à la vente, me mettre aux enchères, pour une mise à prix initiale ridiculement basse concernant une chienne âgée aux mamelles affaissées, une chienne à trainer en laisse, tout juste bonne à ramper aux pieds de ses maitre et maitresse. Une femelle bonne à traire pour allaiter toute une portée. J'étais au bord de l'orgasme. J'offris mes pis sur le plateau de mes paumes de mains aux deux filles qui me pompèrent avidement en pressant sauvagement chaque tétine à deux mains, désireuses, à ...
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