Régénération Dégénérée
Datte: 21/02/2024,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica
... chausser des talons aiguilles avec des talons d'au moins dix centimètres. Rien d'autre.
Nous recevrions la suite des instructions lorsque le collier serait installé.
Le SMS m'avait excitée. Madame Amélie ne nous refusait pas. Ensuite, cette première directive était une sorte de jeu de pistes qui se dévoilerait peu à peu. De quoi faire turbiner notre libido et bien plus. Nue sous un imper... Depuis combien de temps ne l'avais-je pas fait? Je crois que c'était lors d'une fête étudiante. Mais là, le défi était plus grand, juste deux boutons boutonnés, deux boutons laissant accès aux seins et à la minette au détour d'une enjambée trop précipitée, d'un geste du bras trop ample. Me faire reluquer, ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé... et même, exhiber un sein ou ma chatte par un bien malencontreux hasard que j'aurais moi-même provoqué tout à fait intentionnellement, l'idée m'excitait vraiment. Et puis, il y avait la suite que je ne pouvais qu'imaginer, ce collier à récupérer et essayer dans une boutique SM, devant les autres clients? Dans une cabine? Ou pas, ou plus... si ce fameux vendeur exigeait d'être récompensé, il pouvait imaginer tant de choses, en plus de me voir nue sous un imper! L'idée me faisait mouiller par avance.
Vendredi me parut long à arriver. Je ne fus pas très efficace au magasin, mes employées durent trouver la patronne rêveuse.
***
Nous entrâmes dans la boutique SM comme des ados qui vont faire leur premier achat tabou. C'était ...
... le début d'après-midi, nous ne pensions pas trouver foule, mais il y avait un peu de monde, manifestement des habitués et habituées. Nous étions des éléphants dans un magasin de porcelaine, de plus mon imper d'exhibitionniste et ses révélations fugaces attiraient parfois l'attention. À la différence de la rue où je maintenais plus ou moins les pans de l'imper ensemble, dans le magasin je laissais ces coquins révéler ce que bon leur semblaient. Et ils ne se gênaient pas.
Un gars au look gothique heavy-metal nous aborda en nous demandant si nous étions envoyés par Amélie. Il s'agissait du vendeur. Il nous amena au comptoir. Il nous montra les colliers : deux larges cercles de métal, pour l'instant presque ouverts en demi-lune, pourvus de quatre anneaux d'environ cinq centimètres de diamètre installés à quatre-vingt-dix degrés autour du collier. Il nous dit :
— Je vais vous les mettre autour du cou, il y a environ cinq minutes pour les ajuster et les rouvrir. Ensuite il n'y a que celle qui a la clef, Amélie, qui peut les ouvrir, sinon impossible sans cette clef. Garantie. Aucun moyen. Donc je vous mets le collier, je le ferme, si c'est pas bon vous le dites de suite et on ajuste à la bonne dimension.
On fit l'essayage devant tout le monde. Enfin, pas grand monde ne s'y intéressa. Ce fut rapide pour Antoine.
Pour moi, moins, car le vendeur reluquait ma poitrine. Il écarta les pans de mon imper de manière à ce que mes seins soient exposés à l'air libre. Je ne protestai ...