1. L'anniversaire de Bruno


    Datte: 19/02/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Omarrrr, Source: Hds

    ... que Abou, d’une main sur ma nuque, pousse ma tête vers son sexe de façon à ce que je le gobe plus profondément. Je me laisse faire, tellement je suis excitée par la main habile de Babou. Je le suce sans aucune retenue, tout en disant à Babou : « Oh oui, continue, branle-moi bien mon chéri ! » Je dois être vraiment surexcitée pour appeler « mon chéri » un homme que je connais que depuis une demi-heure…
    
    Babou se rend compte que j’approche de l’orgasme, et il ralentit son mouvement. Lorsqu’il me réintroduit son pouce dans l’anus, je ne proteste plus, car cela me procure un plaisir aussi intense que ses doigts sur mon clitoris. Je suis toute honteuse de me faire branler le cul, mais il m’excite ce salaud, et s’en rend compte par le trémoussement de mes fesses : « Ça te plaît, mon pouce dans ton cul ? T’aimes ça, hein ? Dis-le, ma belle ! » Je ne réponds pas mais le laisse retirer son pouce pour m’enfoncer deux doigts profondément dans le rectum. Il me branle le cul sans ménagement, alors que je lâche quelques gémissements tout en léchant la dure queue de Abou. Il m’envoie soudain des choses cochonnes qui me troublent encore plus : « Mademoiselle voulait nous allumer ! Mais tu sais, nous, les Noirs, il nous en faut beaucoup, pour être épuisés ! Dis que tu es venue pour ça, que tu veux ma queue dans ton cul ! » « Oui, je ne suis qu’une vicieuse ! Encule-moi, fous-moi ton sexe dans le cul, bien au fond, ne me ménage pas ! »
    
    Aussitôt, il retire ses doigts et m’attrape par les ...
    ... hanches ; il pointe sa grosse verge contre mon anus et dit : « Cambre-toi mieux, petite salope, que tes fesses s’écartent sans pudeur… Oui, comme ça. Offre-moi ton joli cul. » Il n’en finit pas de me dire des saloperies, ce qui m’excite beaucoup. N’y tenant plus, je passe une main entre mes propres cuisses, jusqu’à ce que mes doigts atteignent mon petit orifice que j’écarte en disant d’une voix plaintive : « Viens, s’il te plaît, n’attends plus ! Regarde comment je me donne à toi, j’en mouille d’impatience de la sentir dans mes reins, ta jolie bite ! » Je le sens s’agripper plus fortement à mes hanches, au point que ses ongles se plantent dans ma peau bronzée, puis il m’enfonce brutalement son pieu aux trois quarts dans le rectum. Je suis très étroite de ce côté, et je pousse un gémisse lorsqu’il dilate cette gaine sensible de mon corps. Mes chairs se rétractent autour de cette énorme queue d’ébène, l’emprisonnant dans un chaud et doux fourreau. Il se retire de moitié puis d’un brusque coup de reins me propulse à veau sa verge, m’enculant cette fois à fond. Je crie tout en agitant mon bassin. Malgré l’habitude que j’ai à me faire sodomiser par mon mari, mon cul n’est pas habitué à des mandrins aussi gros et brutaux. C’est lorsqu’il entreprend un dur va-et-vient que je n’en peux plus. Mais il se moque de mes plaintes et continue de me limer sauvagement. Puis il fait glisser ses mains sous mon ventre, écartèle ma fente vaginale et de l’autre, il m’y enfonce profondément quatre ...
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