L'anniversaire de Bruno
Datte: 19/02/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Omarrrr, Source: Hds
La petite histoire que j’ai à vous raconter date d’environ deux mois. C’était l’anniversaire de Bruno, et je ne savais pas quoi lui offrir ; aussi, je lui demande directement ce qui lui plairait. Il ne me répond pas tout de suite. Ce n’est que le soir qu’il me déclare, un petit sourire aux lèvres : «Tu es une très jolie jeune femme, et ce qui me ferait donc le plus grand plaisir serait de te voir baiser avec deux Noirs ! » J’adore mon mari, mais sa proposition me choque un peu, je lui demande donc la nuit pour réfléchir.
Le lendemain matin, (est-ce par amour ?) je lui donne mon accord. Il est fou de joie, et m’explique aussitôt : Pas très loin d’ici, il y a une maison en construction où ne travaillent que des immigrés. Tu leur demanderas et ils ne refuseront pas, ils seront trop excités, je crois. Tu n’auras qu’à les «allumer » innocemment, et je suis sûr qu’ils se chargeront du reste… » Il me dit pour finir que l’on ira voir cet après-midi. Avant de partir, il me demande de me changer. Selon ses désirs, je mets un slip, des bas fumés sans jarretelles, une robe moulante qui m’arrive à peine au-dessus des genoux et offre un large décolleté sur ma poitrine gonflée. Je chausse des escarpins à talons très fins, me maquille soigneusement, et nous voilà prêts à partir. Bruno m’avoue que je suis très excitante, et rien qu’à me regarder, il bande.
Arrivés à quelques deux cents mètres du but, Bruno descend et me dit : «Je compte sur toi ma chérie et… profites-en bien ! » ...
... Devant le pavillon en construction, je me dirige vers deux Noirs en train de préparer un ciment et, leur offrant mon joli sourire, je leur demande : «Bonjour Messieurs, est-il possible de visiter ? Cela me ferait tellement plaisir ! » Les deux individus se regardent, ils doivent avoir au moins la trentaine et ne sont pas très attirants (à mon goût). Ils me dévisagent des pieds à la tête et l’un d’eux dit : « Pas de problème madame, on va vous guider. » Je les remercie, et l’un d’entre eux me propose de visiter le premier étage, car le rez-de-chaussée est encombré de matériel. J’acquiesce, et il ajoute que le seul moyen d’accéder aux étages supérieurs est l’échafaudage. C’est, bien sûr, un excellent moyen de les exciter (bien que je n’en ait nullement envie), je leur demande s’ils peuvent m’aider à monter, car j’ai peur de tomber. Aussitôt, l’un d’eux grimpe rapidement au premier étage je l’appellerais, pour la suite, «Abou », car je n’ai jamais su leurs noms), alors que l’autre (Babou), attrape mes mollets. A la moitié de mon ascension, je fais semblant de perdre l’équilibre et Babou, profitant de cette occasion, me saisit à pleines cuisses, s’apercevant par la même occasion que je porte des bas. Je regarde dans sa direction, il a la tête presque enfouie sous ma robe. Je le remercie de m’avoir retenue. Je ne doute pas que Abou doit avoir une superbe vue sur ma poitrine, car il n’arrête pas de se pencher pour « zieuter » entre mes seins, alors que Babou, sûrement enhardi par mes ...