Les bons comptes font les bons amis...
Datte: 18/02/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... excitation à l’extrême, et sans aucune gêne pour le mari se trouvant sur place, je m’approchais de la femme et baissais mon pantalon. Et bien sûr mon slip, exhibant ainsi ma verge qui était aussi dur que du marbre. Après un regard à son mari, Chloé me caressait d’abord les testicules avec sa main puis sa langue me titillait à la base du sexe puis remontait, passait sur le frein du prépuce. Je pensais qu’elle allait engloutir toute ma tige, mais sa langue redescendit. Elle me faisait languir ! Enfin au bout de quelques minutes, je sentis ses lèvres autour de mon gland et enfin toute sa bouche autour de mon sexe. Je ne pu me retenir de pousser un petit gémissement… C’était trop bon ! Il fallait presque que je me retienne pour ne pas abréger sa fellation. Quelques minutes après, la bouche pleine de ma semence elle recula sur le canapé.
- Voilà, c’est payé ! Laissa-t-elle tomber.
- Tu as payé pour la pal, non pas pour les appliques ! M’entendais-je lui dire.
Sans chicaner, elle me prit de nouveau ma queue à demi bandée et l’enfourna jusqu’au fond du gosier. Elle posait ses mains aux ongles délicats sur mes fesses et me fit imprimer des mouvements de va-et-vient violents. Son rouge à lèvres contrastait violemment avec le rose pâle de ma verge qu’elle engloutissait après chaque aller et retour.
Dans son coin le mari ne manquait pas une miette de ce que nous faisions. J’étais aux anges. Un état qui me faisait faire n’importe quoi. Au point de l’inviter, à s’unir à ...
... nous.
- Reste pas seul dans ton coin, viens toucher la chatte de ta femme pour voir si elle mouille ?
- Pas question, répondait Chloé qui avait sorti la bite de sa bouche avant de se mettre à lécher ma verge et mes couilles comme s’il s’agissait d’une sucrerie.
- Patrice, insistais-je d’un ton autoritaire, je te dis de venir toucher sa chatte ! Et toi ma chérie, tu vas écarter tes cuisses pour permettre à ses doigts de te toucher !
Toujours en léchant, elle me fixait d’un œil mauvais, et finalement, lentement, s’exécuta, écartait ses jambes. Son mari s’approchait timidement, passait un doigt sur la culotte de satin, dessinant le creux des lèvres, et n’ayant aucune réaction violente de sa femme, glissait l’index sous l’élastique.
- Elle est en eau ! Jugeait-il.
- J’en étais sûr ! Lâchais-je tomber.
Mais alors qu’il s’écartait, je laissais tomber : - Lèche là !
- C’est que… ! Marmonnait-il.
- Tu ne vas pas me dire que tu n’aimes pas lécher la chatte de ta femme.
Chloé se positionna pour faciliter la besogne de son mari. Il était maintenant à genoux devant elle, alors qu’elle était assise sur le bord du canapé, les cuisses grandes ouvertes, un talon sur l’accoudoir laissant bailler d’une manière obscène ses grandes lèvres sous une épaisse brouillage. Patrice la lécha goulûment, comme s’il voulait en finir au plus vite avec son tête à tête. Je jouais pour ma part, avec ma queue. La tapotant contre les joues, le nez, le menton, alors qu’elle cherchait à la ...