1. Yüko


    Datte: 12/02/2024, Catégories: fh, ffh, asie, amour, noculotte, caresses, intermast, entreseins, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, couple, couplea3, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... chez leurs fournisseurs et sous-traitants. Depuis le contrat japonais, la filière automobile m’intéresse beaucoup, j’y travaille. Et, de fil en aiguille, mes idées sont passées par les pneumatiques pour arriver jusqu’à l’aéronautique. Notre potentiel de développement est gigantesque, il faut que je parvienne à pénétrer ces marchés avant que d’autres ne le fassent. Nos atouts sont l’expertise et l’expérience. Ça sert à ça aussi, de promener bébé.
    
    Conseil de guerre dans la petite salle de réunion près de mon bureau avec tous les chefs de projets. Thème : on s’endort sur nos lauriers, il faut nous réveiller. Je présente l’enchaînement de mes idées : secteur auto, plein de boîtes à démarcher ; les équipementiers, d’autres grosses boîtes ; pneumatiques, encore des boîtes dont un des leaders mondiaux, qui fait aussi pour l’agriculture, les poids lourds et… l’aviation. Peut-être une clé pour pénétrer ces marchés. On s’y met ? Qui fait quoi ? Des remarques ? Oui, les hackers sont de plus en plus nombreux et performants, et parfois rançonnent des entreprises. C’est pas trop notre secteur d’activité, les boîtes d’antivirus sont là pour ça.
    
    — Oui, mais ce serait peut-être un plus. Notre enseigne, c’est bien « CotaSec ». Si on apportait une sécurité totale à tous nos clients contre lehacking, ce serait une sacrée pub…
    — Facile à dire, mais le faire c’est une autre paire de manches.
    — Je connais un type qui rigole quand on lui parlehacking. C’est un hacker repenti qui, ...
    ... semble-t-il, a une parade absolue contre tout type dehacking.
    — C’est vrai ? Il est fiable ?
    — Ben… je sais pas trop. Je peux le contacter si tu veux.
    — Essaye de le faire venir, on verra. Bon, on se relance dans la bagarre. Pensez que vous êtes dans une entreprise exceptionnelle qui doit le rester parce qu’elle dispose d’un fantastique potentiel de développement. Au boulot.
    
    Finalement, c’est moi qui me déplace et qui vais le rencontrer. Bill travaille dans une université. Il est royalement logé dans un placard sous un escalier. C’est un gros homme qui sue en permanence, le T-shirt plein de taches, des problèmes de santé et des problèmes sociaux. On exploite son génie et il se laisse faire en assurant la maintenance informatique de la fac. Mais au moins, il a un boulot, un revenu fixe et il voit des gens… C’est une déception amoureuse qui l’a amené là, lui, le petit hacker auquel aucun pare-feu ne résistait plus de cinq minutes. Au fond, un brave type à la dérive. Je lui propose le double de ce qu’il gagne, il s’en fout. Mais quand je lui parle des boîtes qui sont nos clients, de notre boulot à ramifications mondiales, de protection contre lehacking, son œil s’allume.
    
    — Mettez-vous en disponibilité, pour raison de santé par exemple. Comme ça vous gardez votre poste pendant un an et vous revenez si ça ne vous plaît pas…
    — Ça se discute. J’peux visiter la boutique ?
    — Je vous emmène.
    
    Nous faisons la visite de l’entreprise, il la trouve très sympa. Merci. Je lui montre un ...
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