Yüko
Datte: 12/02/2024,
Catégories:
fh,
ffh,
asie,
amour,
noculotte,
caresses,
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple,
couplea3,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... sacrée fêtarde à vingt ans. Les petits copains, on avait arrêté d’essayer de les compter, elle en changeait toutes les semaines. C’est comme ça qu’elle a connu Jean-Charles, dans une boîte de nuit. Lui voulait savoir comment était Tokyo la nuit, et elle lui a mis le grappin dessus. Tu sais pourquoi ?
— Non ?
— Parce que les Français ont la réputation d’être de bons amants avec un sexe plus gros que la moyenne locale. Elle l’a essayé et elle ne l’a plus lâché. Remarque, c’était un beau mariage entre familles de diplomates. Et deux ans plus tard, il était ambassadeur. Pas mal !
— Je croyais que c’était au cours d’une réception entre diplomates et leurs familles, qu’elle l’avait connu…
— C’est ce qu’elle dit maintenant, ça fait bien, mais non, boîte de nuit. Ça n’a plus d’importance aujourd’hui. Mais ça lui a vraiment fait du bien. Et à toi ?
— Pas de mal, quoique je n’étais pas trop fier de moi, un peu gêné par rapport à toi et le sexe un peu douloureux.
— Mouais, il ne faudra tout de même pas recommencer trop souvent, je ne voudrais pas être privée. Disons une fois par semaine, ça te va ?
— Demande-lui à elle, parce que je la perçois comme un chaudron d’huile bouillante : petite robe moulante, pas de culotte, jeu de jambes sous la table quand je ramassais les nouilles… Il va falloir la freiner un peu.
— Euh… L’histoire de la culotte, ce ne serait pas à ta demande par hasard ? Tu vois, je te connais bien. Alors, assume, mon chéri, elle, elle exécute, comme moi !
Je ...
... mets ça dans ma poche, mon mouchoir par-dessus. Le petit coup à la sauvette quand Yüko tortille du cul devant mon nez, ce n’est pas l’idéal. Et puis, il y a Naomi, il faut essayer de ne pas l’oublier comme cette fois. Un minimum d’organisation est nécessaire, Mahoko décide qu’elle me prêtera à sa frangine le samedi soir, affirmant ainsi sa position d’épouse légitime le vendredi et le dimanche soir, c’est ce qu’on appelle un prêt encadré. Yüko me dit avoir apprécié ma fougue, même un peu trop violente, mais souhaiterait cependant un peu plus de douceur, voire de tendresse.
Un autre est en train de fondre à vitesse grand V, c’est Bill. Le garçon a changé du tout au tout. Il est propre, correctement vêtu, son bureau n’est plus encombré de friandises et de cannettes diverses, il arrive à l’heure et repart à dix-huit heures comme tout le monde. Mais lui, depuis le temps qu’il était en surpoids, il a un peu trop de peau et ça le vieillit : rides, bajoues, comme un cou de dindon. Alors il se laisse pousser un collier de barbe courte, genre quatre à cinq jours, montrant ainsi qu’il prend vraiment soin de lui. Étrange… Un beau matin, il débarque dans mon bureau comme une tornade, brandissant quelques feuilles de papier.
— Regarde ça, regarde ça ! Putain, tu m’as sauvé !
— Que se passe-t-il, Bill ?
— C’est ma dernière analyse. Je suis passé chez mon toubib hier soir, il m’a dit que c’était une analyse de jeune homme. Putain, ce que je suis content !
— Ah, c’est très bien ça.
— ...