Yüko - Histoires de Sexe

Yüko

... demi pliées, et je me laisse tomber de tout mon poids sur ma queue qui lui défonce le cul. Je me dis que plus l’expérience sera douloureuse et rude, moins elle voudra la réitérer. Soyons infects jusqu’au bout si c’est pour avoir la paix. L’étroit conduit très contracté me procure un plaisir inouï et me mène rapidement à l’orgasme. J’aurais pu me lâcher en elle, pas de risque en cet endroit. Mais non, je pousse l’humiliation jusqu’au bout. Je sors précipitamment de son trou de balle dilaté et lui fourre ma queue dans la bouche. Elle doit certainement puer la merde et en avoir le goût. Je la laisse, gisant sur le côté, dévastée. Je reprends mes fringues et monte prendre une douche.

— Tiens, voilà papa, dit Mahoko à Naomi qu’elle tient à son cou. Papa vient de faire rire Tatie Yüko.
— Ah zut, elle était réveillée ?
— Oui, mais elle attendait sagement. Simplement, elle s’inquiétait pour sa Tatie qui criait très fort. Je lui ai expliqué que c’est Papa qui la faisait rire. N’est-ce pas ?
— Ouais, elle a beaucoup ri, c’est vrai. Je vais prendre une douche…

J’étais presque persuadé qu’on ne verrait pas Yüko au dîner et qu’un clash avec Mahoko était proche, pour maltraitance à sa frangine. Une douche et un whisky plus loin, la petite dodue débarque, fraîche et pimpante, rayonnante comme si elle venait de gagner au loto. Elle est en plus fagotée dans une robe chaussette genre « kimono raduku », une incitation au viol.

— Bonsoir tout le monde ! Désolée, mais je n’ai pas ...

... trop eu le temps de faire de la cuisine aujourd’hui. Ce sera jambon-pâtes, ça vous va ?
— Oui, oui, très bien
— Tiens ? Je ferais bien les pâtes au torchon.
— Quoi ? Connais pas, mais ça tombe bien, c’est justement du jambon au torchon. Tu me montres ?
— Ah ah ! On se tutoie maintenant, commente Mahoko ?
— Comme tu vois, petite sœur, ton mari m’a tellement fait… rire, que ça crée une certaine complicité… Tu viens me montrer ta recette, Jérôme-San ?

Ben mer…credi ! Ce n’est pas possible. Non seulement elle était en manque, mais c’est une folle de sexe, et en plus elle aime l’amour vache ! Il y a des nanas surprenantes. Je vais avec elle dans la cuisine ouverte.

— C’est simple : tu fais bouillir de l’eau salée, tu plonges les pâtes dedans, tu laisses reprendre l’ébullition et puis tu éteins le gaz. Tu couvres d’abord avec un torchon propre puis un couvercle par-dessus. Tu attends quinze minutes et les pâtes sont cuites à point. Plus qu’à égoutter.
— Pas mal ! Économie de gaz, facile à faire. Tu crois que ça marcherait pour le riz ?
— Je ne sais pas, faudrait essayer.
— Et c’est comme pour le jambon, alors ?
— Ben non ! Le jambon est emmailloté très serré dans un torchon cousu et cuit dans l’eau plusieurs heures. Le torchon tient bien les différentes parties du jambon qui a été désossé, donc ouvert, et il empêche l’eau d’imprégner la viande. Le jambon est plus sec, plus goûtu.Et tes jambons à toi, sont-ils emmaillotés ? poursuis-je à voix très basse en passant une ...