Mes femmes
Datte: 10/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... s'assoir pendant trois jours.
- Mouais, bon, alors tout va bien.
- Et ton mal de tête ?
- Cindy m'a massé les tempes et tout a disparu comme par enchantement.
Dans la cuisine, ma femme prépare déjà le repas du soir, une bonne grillade sur la terrasse. Cela dit, le temps de faire le feu, Cindy et Béatrice s'amuse à me montrer qu'elle ne porte rien sous leur long tee-shirt. Quand Élisabeth arrive, c'est à croire qu'elles se sont donné le mot. J’ai la queue aussi dure qu’une barre d’acier. Elle aussi ne porte qu'un tee-shirt sur la peau et court avec ça. Cela me permet, près du grill, de lui mettre la main au panier et de gentiment caresser sa croupe toujours aussi merveilleusement désirable. Son baiser n'en est que meilleur et il s'en faut de peu pour que je ne prenne devant nos filles. Assise près de moi, à table, elle me montre qu'elle a une envie folle de faire l'amour. Sa chatte est si humide que sa chaise en subit les conséquences. Bien plus tard, dans notre chambre, je l'honore autant que je peux lui en donner. Pourtant, si je fais l'amour à ma femme, c'est à mes filles que je pense et là, je m'emballe. Je commence à lui dire des mots crus, vulgaires et plus j'en dis, plus ma femme se monter lascive, docile. À croire qu'elle est comme mes filles, de caractère soumise quand on les bouscule. En plus, suprême surprise, Élisabeth insiste pour que je la sodomise. Chose qu'elle m'avait toujours refusé jusqu’à ce jour. Lentement, je prépare son joli cul bien rond. Je ...
... dilate son anus, parfois avec ma langue et elle en jouit. Quand mon sexe la pénètre, c'est encore plus fort que moi :
- Après, ma petite cochonne, faudra que tu me la lave tout en douceur.
- OUIII, mon gros cochon. Encule-moi sauvagement, rudoie-moi, ma grosse brute
Pas besoin de répéter deux fois, j'ai bien capté le message. Alors je donne tout ce que j'ai et même la réserve. Je la défonce, lui déchire son cul. Je subodore même que nos filles nous écoutent à travers les murs. Élisabeth ne cesse de pousser des vagissements a****liers. Jamais je ne l'ai connue comme ça. Putain que ça fait du bien de se défouler dans ce cul. Et encore mes mots vulgaires, crus, sales triviaux qui lui font un effet bœuf. Plus je lui en dis, plus elle se rapproche de l'orgasme. C'est elle qui me le dit, me le crie. Elle me supplie de me vider dans son fion. Salope, je vais me gêner, tiens. Quand l'orgasme explose, c'est jour de fête, nous jouissons ensemble, à l'unisson comme la toute première fois. Toute la maison peut nous entendre hurler notre bonheur et même les bois des alentours. Sur son dos, je tombe comme une masse. Elle se dérobe de mon corps, me retourne sur le dos et sa bouche fait ce que je pensais encore comme inconcevable, inimaginable, il n'y a pas trente minutes. Sa bouche, sa langue me lavent mon sexe, me le pompe. Elle en veut encore, c'est clair, mais moi, je suis raide, mort parce que je n'ai plus vingt piges. Enfin, sur mon corps, ses mains se font douces. Je connais ...