Mes femmes
Datte: 10/07/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... culotte. Elle se pose près de moi, appuie sa tête contre mon épaule.
- Merci papa, si tu savais ce que j'ai joui en t'entendant me raconter ces voleurs.
- La prochaine fois, évite de le faire ici, on ne sait jamais. La preuve, je suis rentré plus tôt.
- Pas grave, je me suis même imaginé que c'était toi qui me baisais avant que tu n'arrives.
Je te l'ai couchée en travers de mes cuisses et te l'ai fessée cul nu. Moi, baiser ma fille, et puis quoi encore. Ok, j'ai bandé et alors, bordel, Cindy comme Béatrice sont mes filles, mes trésors. Je ne dis pas, si cela avait été leur mère, elle passait à la casserole sur le champ. Seulement, devant ce petit cul superbe, la force de mes claques sont allées en diminuant jusqu'à devenir de tendre caresse. Mes doigts se sont insinués là où cela fait du bien, sur son sexe, son anus. Puis, j'ai vu le tee-shirt de ma fille tombé sur le sol. Je bande comme un âne, elle le sait, elle la sent, ma queue. Après quelques caresses très intimes, elle jouit dans un très long soupir de bonheur. Nos regards se croisent, je rougis de cette situation qui m'émeut. Elle se redresse, me chevauche et m'embrasse de partout sur mon visage. S'il n'y avait pas eu les rires de ma femme et de mon autre fille, cela se serait terminé avec ma fille empalée sur ma queue.
Très vite, je la repousse, lui montre la porte d'entrée. Des rires encore, Cindy se dégage de moi, ramasse son tee-shirt et, me prenant par la main, m'entraine en haut. Elle me pousse ...
... dans la chambre à coucher, me retire mon pantalon gris clair d'intérieur, m'enfile la première chose qu'elle trouve, un short. Au passage, elle abaisse mon slip, lèche ma queue. Je n'ai rien fait pour l'en empêcher. Étais-je devenu si lâche que ça ou avais-je réellement envie de baiser ma fille ? La réponse viendra plus tard. En bas, mes deux autres femmes ne cessent de rire dans la cuisine. Je descends, tentant de rien montrer de mon émoi encore perceptible. En catimini, je me glisse derrière ma femme et la chatouille. Du coup, mon émoi disparaît et derrière moi, comme si de rien n'était, Cindy arrive entièrement vêtue. Ouf, nous étions passés près d'une catastrophe.
C'est quelques semaines plus tard. Les grandes vacances universitaires commencent. J'ai également deux semaines de congé, heures sup, vacances, j'ai de quoi. Alors que Béatrice propose à sa mère et sa sœur s'aller au lac nous baigner, je ne suis pas assez bien pour m'y rendre. Depuis mon levé, un mal de tête me tue à petit feu. Alors que mes trois femmes se préparent, Cindy me regarde en compagnie de sa grande sœur.
- Pas bien le père.
- Non, faut dire que ses maux de tête, quand ça lui prend, il en a pour la journée. Mais bon, heureusement, c'est rare.
- Je crois que je vais rester avec lui.
- Cindy, non, on va…
- Non, je reste, maman.
Et voilà ma femme et ma grande en route pour le lac. Cindy se pose derrière moi, derrière le canapé et me masse délicatement mes tempes. J'avoue que son massage ...