1. L'infidélité d'Ophélie


    Datte: 11/02/2024, Catégories: fh, hplusag, noculotte, odeurs, pénétratio, fsodo, diffage, Auteur: Rincop, Source: Revebebe

    ... échangeons un long baiser. Puis je sens ses mains descendre jusqu’à ma braguette qu’elle commence à ouvrir. Le message est clair. Je passe mes mains sous sa robe et fais glisser sa culotte le long de ses jambes. Elle s’adosse à un mur et m’attire à elle. Je dois la soutenir sous ses cuisses pour « passer à l’acte ». L’étreinte est puissante et même un peu bestiale.
    
    — Fais vite, il pourrait venir du monde, me chuchote-t-elle.
    
    Je ne me le fais pas dire deux fois, d’autant que je ne suis pas sûr de pouvoir la soutenir très longtemps, et pars dans de puissants aller-retour. En quelques minutes, l’affaire est faite. Je mets sa culotte dans ma poche après l’avoir ramassée par terre.
    
    — Oh non, je ne vais pas rester comme ça !
    — Ça nous rappellera des souvenirs…
    
    Je la prends par la main et nous arrivons peu après au Clos Lucé. Ophélie est émerveillée par les maquettes reproduisant les inventions de Léonard de Vinci.
    
    — Et tout ça à la Renaissance !
    — Eh oui, et sans oublier ses peintures, sculptures et ses recherches anatomiques.
    — Quel homme ! Enfin toi aussi, je sens ton sperme couler le long de mes cuisses. Il va falloir que j’aille aux toilettes, et rends-moi ma culotte, s’il te plaît.
    — Comme tu veux, lui dis-je, en la sortant de ma poche pour lui tendre ostensiblement alors qu’un couple de personnes âgées passe à proximité.
    — Grr ! me répond-elle d’un air mi-courroucé, mi-amusé.
    — Au moins, ils auront quelque chose à se raconter ce soir au fond du lit.
    — Ah ...
    ... toi, t’en rates jamais une !
    
    Sur le chemin du retour, je lui raconte la légende qui voudrait qu’un sous-terrain reliât le Clos Lucé au château, ce qui permettait à Léonard de rejoindre le roi pour passer la nuit.
    
    — Alors ils étaient… ?
    — C’est ce que dit la « petite histoire »
    — Comme quoi nous n’avons rien inventé de nos jours.
    — C’est le cas de le dire répondis-je en riant.
    
    Elle partit elle aussi dans un grand rire.
    
    Arrivés à la maison, douche pour Ophélie. Cela semblait s’imposer. En redescendant, elle m’annonce :
    
    — Ce soir, pas de cuisine, je t’invite au resto, et pas de discussion, j’ai déjà réservé.
    — Sans me demander mon avis ?
    — Surtout pas, sinon tu aurais encore trouvé un prétexte pour ne pas y aller ou pour me l’offrir. Mais là, c’est MOI qui invite.
    — Du calme, ce que femme désire, Dieu le veut, et nous allons où ?
    — À la « Maison Tourangelle », Pierre m’en a dit le plus grand bien pendant que j’attendais mon sauveur, dit-elle en ajoutant un clin d’œil.
    — Excellent choix en effet, merci beaucoup. C’est pour quelle heure ?
    — 20 heures.
    — Bon, je fais un brin de toilette et je suis à toi, nous avons du temps devant nous.
    
    Dans l’attente du départ, nous nous câlinons sur le canapé.
    
    Excellent repas et soirée très agréable. Au cours du repas, j’offre à Ophélie un pendentif en or avec deux cœurs croisés que j’avais réservé pour la fin du séjour.
    
    — Merci beaucoup, Yves, avec une lueur de bonheur dans les yeux.
    — Tu penseras à moi…
    — Je ...
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