1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1575)


    Datte: 07/02/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... tout son être en gardant les jambes en l’air… De sa rondelle dilatée et humide sortait en s’écoulant un filet gluant et blanchâtre de sperme, ses couilles maltraitées semblaient encore congestionnées, sa bite raide reposait sur son abdomen.
    
    - Va bâtard, va passer ta langue sur ce trou baveux et avale ce foutre !, m’ordonnait le Châtelain
    
    A quatre pattes derrière ce cul bien exposé, ma langue collectait cette semence que j’ingurgitais en m’en délectant. Mes lèvres se ventousaient contre cet anneau de chair brulant. J’aspirais en creusant mes joues pour que viennent à moi ces sucs intimes enfouis dans ce fourreau incandescent. L’ivresse de nouveau me gagnait, je me sentais telle une véritable salope, mon érection me faisait quasi mal, tellement ma nouille était au zénith, à son paroxysme…
    
    - Branle-le maintenant, fais-le jouir de tes mains, je veux le voir cracher ses souillures, à cette salope !, insistait le Maitre.
    
    J’empoignais alors cette verge dure et fiévreuse, et en quelques secondes seulement, Antoine n’y tenant plus, explosait une éjaculation violente et très abondante qui se répandait en de longs et puissants jets sur son ventre et sur son torse. Le ...
    ... Maître alors étalait de Ses mains cette semence sur l’abdomen et la poitrine d’esclav’antoine et s’essuyait dans ma chevelure et sur mes joues… Ensuite je dus nettoyer les mains du Noble des dernières gouttes de foutre laissé après s’être essuyé sur mon cuir chevelu. Je passais donc ma langue entre chacun de Ses doigts, tout en prodiguant d’efficaces petits coups de langue…
    
    Nous étions dans un bien triste état, esclav’antoine et moi, lorsque Marie, cette vicieuse cuisinière, renfermait de nouveau nos nouilles dans nos cages de chasteté. Elle s’en donnait à cœur joie cette sadique, en nous humiliant encore et toujours, en pressant, palpant, soupesant, étirant, malaxant à pleines mains nos couilles pour vérifier selon elle, leur légèreté maintenant qu’elles avaient évacuées leur déchet… Et si par malheur, ils nous arrivaient de bouger ou de geindre, elle nous giflait durement et nous cravachait les fesses ou les cuisses, sans état d’âme… Définitivement je haïssais cette Marie, la cuisinière, perverse et sadique femme, qui sans cesse et sans raison nous rabaissait, nous violentait, nous tyrannisait par pur plaisir gratuit d’un sadisme mental et physique...
    
    (A suivre…) 
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