1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1575)


    Datte: 07/02/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... hurler. Le traitement que lui prodiguait ce Majordome vicieux et pervers, poussait Antoine dans ses derniers retranchements, intégralement plongé dans le plaisir violent d’une obéissance sans faille et visiblement dans son masochisme évident.
    
    - Toi la pute, va me chercher le tube de gel posé sur le bureau du Maître, m’ordonnait le Majordome
    
    Walter me l’arrachait des mains. Ne sachant plus comment me tenir, je prenais l’initiative de me mettre face contre sol, cul relevé, aux pieds de Monsieur le Marquis. Celui-ci agrippait Sa main empoignant mes cheveux.
    
    - Non, à genoux esclave ! Regarde bien ce que ton putain de futur mari va devoir subir, il aime la queue lui aussi, une vraie chienne en chaleur, comme toi, salope !
    
    Walter faisait relever bien haut les jambes d’ esclav’antoine, ainsi il offrait son cul ouvert à sa merci. Le Majordome lui badigeonnait la rondelle, le froid le faisait sursauter de même que les deux doigts qui s’introduisaient en lui, sans ménagement. Antoine ne parvenait pas à contenir une plainte douloureuse alors qu’il bandait de plus belle.
    
    - Si j’en crois ces gémissements, le cul de cette salope ne se fait pas suffisamment défoncer, pourtant ces entrailles sont brulantes !, commentait Walter.
    
    Le Majordome maniait avec virtuosité ses doigts dans le cul de mon congénère, alternant entre douceur infinie, violence et brusquerie soudaine. Je voyais le corps d’esclav’antoine en état d’alerte permanent, ne sachant jamais si les futures ...
    ... pénétrations allaient être douces ou furieuses. Avec opiniâtreté, il se laissait doigter en laissant son cul à disposition, ouvert à toutes les sensations. Il s’y pliait, s’astreignait et subissait ses assauts incessants, et au final relâchait se muscles pour mieux s’offrir à la saillie. Et juste des râles involontaires sortaient de sa gorge, à chaque poussée les plus profondes. Peu après, Walter se déplaçait, mettait son gland distendu devant l’orifice d’esclav’antoine et le pénétrait d’un coup, lui arrachant un hurlement que le Majordome stoppait net en lui plaquant sa main contre sa bouche. Après ça, Walter ne bougeait plus, restant bien planté dans le cul du soumis, laissant le temps à la virulente brûlure de refluer. Une fois qu’il sentit qu’Antoine était prêt, dilaté, il recommençait à bouger d’abord doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il faisait durer le plaisir, son propre et unique plaisir par des ruades incessantes et viriles. Après quelques minutes de ces assauts impétueux sinon bestiaux, Walter poussait un gémissement sourd et s’enfonçait dans cette intimité à disposition jusqu’à la limite du possible, en se vidant en de longs et nombreux spasmes qui secouaient tout son corps accompagnés de longs jets saccadés de chaude semence.
    
    - Voilà ce chien bien dosé, le cul plein, selon Votre Volonté, Monsieur le Marquis.
    
    - Merci mon brave Walter !
    
    esclav’antoine semblait anéanti, totalement éreinté, le regard absent, dans le vide, il tremblait de ...