Professeures Bizutées - 7/8
Datte: 07/02/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... gouttes tombées au sol, en implorant qu'il la laisse tranquille. C'est à ce moment que son mari entra dans le bureau. Il fut stupéfait de voir son épouse avec pantalon et culotte sur les chevilles et plus encore, lorsqu'il s'approcha, de voir l'urine couler à terre. Il cria presque, oubliant que le proviseur entendait la conversation.
- Mais que fais-tu donc? Qu'est ce que c'est que cette tenue? Ma parole, tu ne sais plus te contenir! Tu es malade?
- Tais-toi, je t'en prie, tais-toi, supplia-t-elle, j'ai eu une... une incontinence, oui c'est ça, excuse-moi. Je suis au téléphone. Laisse-moi.
Il quitta le bureau en maugréant sa colère, il faut dire que plus conventionnel que lui était impossible à trouver.
- Bien joué RAMPLANT, très bien le coup de l'incontinence! Je te laisse dans ta merde. N'oublie pas ta tenue au lycée. La pauvre Elisabeth se souvint de ses ordres :
* A partir de lundi, au lycée, toutes tes jupes ou robes seront fendues sur le devant, jusqu'à mi-cuisses. Bas et porte-jarretelles obligatoires. Culotte obligatoire mais descendue sous ton gros cul. Soutien-gorge obligatoire mais tes seins sortis au dessus des bonnets. Chemisiers de rigueur, pulls interdits. Manteau bas dès que tu es dans l'enceinte du lycée.
LUNDI (4ième semaine /AVRIL)
JULIE / TROIS...
Julie passa sa journée en devant tenir son gilet fermé avec ses mains. En effet, à 10H, elle avait déjà croisé trois fois le vicieux Thomas et trois fois elle avait du couper un ...
... bouton. Au troisième et dernier, il en avait profité pour malaxer la poitrine au beau milieu d'un couloir, en ignorant complètement deux élèves qui observaient la scène. Elle eut mal aux tétons qu'il étira durement.
Le plus difficile pour Julie fut de prononcer trois fois son horrible phrase de mise aux ordres :
- Moi la bizute Julie, je me mets à vos ordres monsieur Thomas, mon maître vénéré.
Ce soir là, à l'heure de se coucher, elle entrouvrit sa porte d'appartement, tel qu'elle en avait l'ordre. Elle s'allongea sur le ventre, attacha ses chevilles aux courtes chaînes des côtés du lit. C'était toujours un exercice de contorsionniste. Elle devait se mettre à genoux sur le lit, attacher une cheville, puis se dresser sur les genoux largement disjoints pour réussir à attacher l'autre cheville. Alors seulement, elle pouvait s'allonger, le ventre remonté par un traversin.
Ce faisant, elle n'entendit pas que l'on poussait grande ouverte la porte de l'appartement. C'est un craquement du parquet qui l'alerta mais hélas trop tard. Quand elle comprit qu'elle avait de la visite, elle sentit une main lui obturer la bouche pour l'empêcher de crier. Elle n'eut même pas le loisir de tenter une négociation car un bâillon de tissu, un mouchoir certainement, lui interdit toute phrase compréhensible. Une main puissante lui colla le cou sur le drap.
- Fouillez l'appart, ordonna un homme qu'elle trouva grand et noir. Il n'était pas masqué, il ne devait donc pas appartenir à ...