Professeures Bizutées - 7/8
Datte: 07/02/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... être autant sexuel. Elle ressentit une terrible peur, peur de devoir un jour se trouver dans la même situation que Julie la blonde. Au cours de ses études, elle avait pu éviter tout bizutage.
- C'est... c'est le bizutage, demanda-t-elle à François, j'ai entendu parler de ça?
- Et oui ma belle, on a décidé d'instaurer le bizutage des professeures, histoire de les aider à s'intégrer dans l'équipe. Julie a été la première. Elle progresse bien. Maintenant elle suce sans râler, bien profond dans sa gorge.
Pendant qu'il parlait, son sexe durcissait.
- Très bonne idée, répondit Jennifer à la grande surprise de Julie qui n'avait que la bouche obstruée, pas les oreilles. J'aimerais bien en profiter moi aussi. Je pourrais François?
- Ouais, bien sûr, faut bien apprendre, faut bien se soumettre, faut bien souffrir un peu, faut bien montrer son cul, faut bien sucer à fond... faut bien... ahhhhhhhhh
Il cracha son foutre dans la bouche de Julie.
- Putain, la pipe, c'est vraiment ce qu'il y a de mieux! Vous devez aimez ça vous les gonzesses.. Remarque on s'en fout que vous aimiez ou pas... Essuie bien Julie et fous le camp montrer tes fesses à tes élèves.
Lorsqu'elle sortit de sous la table, elle était rouge de honte et de dégout. Elle n'aimait pas du tout le goût du sperme, encore moins dans de telles conditions. Jennifer la fit venir à ses côtés.
- Tu n'aurais pas oublié de me saluer, bizute Julie? Il me semble bien que si.
La blonde se mit à genoux ...
... immédiatement et prononça sa phrase obligatoire à l'attention de la rousse qui aussitôt lui envoya une claque violente sur la joue droite.
- La prochaine fois, tu ne m'oublies pas sinon gare à tes fesses!
Elle appuya son ordre d'une seconde claque sur l'autre joue avant de laisser Julie sortir.
- Merci François de me laisser profiter du bizutage, j'adore. Bon je vais en cours. A bientôt.
Jennifer n'était pas fière de son comportement. Elle jura de parler à Julie au plus vite pour lui expliquer qu'elle avait tellement peur d'être victime qu'elle avait choisi de se placer en bourreau.
MARDI
/JULIE /AMELIE /ELISABETH /LE PROVISEUR /DORON
Elles se trouvaient toutes trois, debout, au garde-à-vous, alignées devant le bureau du proviseur. Le petit homme rond semblait les ignorer et travaillait ses dossiers avec les lunettes posées sur le bout du nez. De temps à autres, il levait la tête pour vérifier que toutes tenaient bien la position ordonnée. Elisabeth RAMPLANT vivait très mal cette situation qui touchait sa fierté ; les deux autres baissaient la tête, plus résignées. Cela dura bien un quart d'heure avant que le proviseur ne daigne se manifester.
- Mesdames... maintenant... écartez les pieds... vingt centimètres! Un peu plus RAMPLANT!... Maintenant... accroupies... oui, oui, tenez-vous accroupies... écartez les genoux.
Amélie, déjà entièrement nue, plia les jambes lentement. Julie en fit de même. Le proviseur admira les deux chattes qui semblaient s'ouvrir sous ...