La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1585)
Datte: 06/02/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... sur mes fesses, sous mon jogging, ses doigts allant à la rencontre de ce plug ancré au plus profond de mes reins, le poussant un peu pour m’exciter davantage.
- Tu es une bonne petite chienne toi !, me disait-il en éclatant de rire.
- Oui Antoine, j’en suis une, mais pas n’importe quelle chienne… une chienne soumise appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans, tout comme toi d’ailleurs, voilà qui fait la différence et voilà ce qui nous unis, notre appartenance au Maître.
- Quelle chance avons-nous d’être sous le Joug de ce bon Maître, sévère mais juste, pervers à souhait, sachant nous pervertir et nous débaucher comme nous le souhaitons ardemment pour vivre notre plus intime Nature servile…
Tout en continuant à marcher, Antoine faisait l’éloge du Noble. Il lui avait tout apporté, d’abord il l’avait sorti de la galère en lui trouvant un logement et un travail, il lui avait fait reprendre des cours pour qu’il obtienne une qualification reconnue. Ensuite, il lui avait appris l’obéissance, la stricte et vraie obéissance, le respect, l’humilité, la servilité, lui avait enseigné les principes mêmes de la soumission en lui révélant sa vraie et propre Nature, il lui avait fait lâcher prise et accepter une sexualité hors norme en lui imposant la luxure, la débauche, l’immoralité, le vice pour que ces actes lui paraissent naturels et purs… Et qu’il puisse enfin vivre ce qu’il est et s’assumer ainsi… Le Châtelain lui avait interdit la pudeur, la honte, l’intimité qui ne ...
... lui appartenaient plus pour les remplacer par la plénitude, le bien-être, l’acceptation de son état servile… Et il en résultait qu’il s’assumait et pouvait désormais exprimer son état, ses pulsions et ses besoins de soumission, sans complexe :
- J’aime baiser, me faire baiser Alex, quel que soit le sexe, que ce soit une bonne et grosse bien juteuse ou une belle chatte dégoulinante, je prends mon plaisir lorsque j’en donne, lorsqu’on m’humilie, lorsqu’on me violente, lorsqu’on m’accable et me pousse vers l’ignominie la plus infâme … Aujourd’hui je vis le sexe, je suis sexe, c’est un élan vital pour moi, comme de me nourrir ou de dormir, j’ai besoin de ça pour être celui que je suis, me disait-il très sérieusement avant de finir sur une note plus joyeuse… Je suis un vilain petit canaillou !
Evidemment, je me reconnaissais dans ces mots, évidemment rien ne me choquait, au contraire, ces paroles me réconfortaient, moi qui pensais être l’unique, le seul à enfreindre et me soustraire à la loi de l’église et celle de cette société puritaine judéo-chrétienne moralisatrice, moi qui me dévoyait dans l’accomplissement de l’acte sexuel aussi déviant qu’illicite. Oui Antoine et moi avions de la chance de vivre près de Monsieur le Marquis d’Evans, banalisant la sexualité en faisant en sorte qu’elle soit une nourriture pour nos corps soumis et nos âmes serviles, pour qu’elle nous fasse grandir et nous épanouir... Je serrais un peu plus fort la main d’Antoine pour qu’il comprenne que ...