1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1585)


    Datte: 06/02/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1579) -
    
    Chapitre 31 : Au service de Mâles actifs. -
    
    « Mes deux chiens soumis, Mes belles salopes, voilà de quoi élargir et assouplir vos culs de putain, voilà le nécessaire pour allonger et endurcir vos mamelons, faites-en bon usage, matériel à utiliser sans modération – Le Maître, Monsieur le Marquis »…
    
    Aucune modération, aucune abstinence, non ! Car nous étions, Antoine et moi, plutôt dans l’excès, la gourmandise, la luxure de nos corps, l’abus de nos sensations réciproques. Nos désirs sexuels culminaient près des sommets himalayens, nous n’avions de cesse de nous caresser, de nous embrasser à pleine bouche, de se blottir l’un contre l’autre à se faire des tendres câlins, comme des gestes beaucoup plus osés. Très régulièrement et quels que soient les lieux et nos positions, souvent obscènes, debout, couchés, assis, à quatre pattes, nous nous léchions les tétons, les couilles et le cul, comme si cela était tout à fait normal, naturel, ordinaire. Un simple effleurement véhiculait une incroyable charge de sensualité et décharge électrique embrassant nos corps. Nous nous parlions peu, nous nous exprimions principalement avec nos corps chauds et emplis d’envies pour l’autre. Je n’avais encore jamais vécu, à un tel degré, ce phénomène qui donnait une puissance très particulière à la sexualité, et à notre propre homosexualité transformée en un véritable mode de ...
    ... communication intime entre deux êtres, deux salopes soumises, devrai-je dire !
    
    Je ne parvenais pas à me rassasier du beau corps de mon amant, de ses belles fesses musclées, de ses couilles pendantes, de son odeur corporelle envoûtante, de son visage d’ange. Une fois encore, juste après avoir déjeuner, j’avais envie d’Antoine, alors je le conduisais dans le salon et l’installais sur le canapé. Docile, il se laissait relever les jambes, il me laissait admirer son fondement, cet œillet que je voyais palpiter sous mes yeux. Une nouvelle fois ma bouche baveuse humidifiait cette entrée offerte, arrachant quelques plaintes jouissives à celui que je caressais délicatement, puis je me saisissais d’un des plugs reçus ce matin même sur lequel je passais ma langue pour bien le lubrifier de ma salive. Il était de bonne taille. Je le poussais délicatement contre cette ouverture offerte à mon regard, et tel un appel à la bite, je voyais cet anus s’ouvrir sans réelle difficulté. Pour autant, j’y allais doucement afin qu’Antoine maitrise la douleur qui allait venir lorsque la partie de plus large du plug allait frayer son chemin, je le retenais un peu lorsque son sphincter se refermait brusquement sur le col étroit de ce sexe factice. Il avait poussé un gémissement, serré ses poings, bougé la tête de part et d’autre, puis écarté ses fesses de ses deux mains au moment le plus difficile.
    
    - Haaaaaa… Ooooohhh Dieu, que c’est bon d’avoir le cul bien rempli, disait-il les yeux révulsés, dans un soupir ...
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