1. Mon oncle Paul


    Datte: 04/02/2024, Catégories: fh, hplusag, couple, oncletante, copains, cinéma, amour, fsoumise, hdomine, caresses, intermast, Oral amouroman, diffage, Auteur: Carla.moore – sergefra, Source: Revebebe

    ... pression de la main, je la pousse plus bas. Elle m’embouche dans un moment de silence. C’est absolument irrésistible, elle me suce magnifiquement en rythme sans bruit. Elle a tout juste 18 ans mais elle a plus d’expérience que moi.
    
    En face, il ne regarde plus que nous. Pour lui, le spectacle n’est plus sur scène. Il ne doit plus avoir toute sa tête et se doute certainement de ce qu’il se passe. Ma main dans ses cheveux que j’ai empoignés en une queue de cheval, je la guide en musique. Khatia Buniatishvili s’excite sur scène, la fin est proche, je sens mon plaisir monter et j’explose dans cette bouche chaude et humide à la langue mutine au moment où les applaudissements crépitent. La lumière se rallume, Lucie se redresse et me regarde droit dans les yeux. Elle a tout avalé, tout nettoyé. Notre voisin d’en face nous fixe, nous nous levons pour aller au bar, je remonte ma braguette. Elle me prend le bras.
    
    — Merci Paul.
    — Tu suces merveilleusement, c’est un bel avant-goût des plaisirs que nous pourrons vivre. Si tu le souhaites, je t’enseignerai à user de ton corps pour rendre les hommes esclaves, à tes pieds, ma Silou.
    — Je le veux. Je veux être ton élève.
    — Je n’aurais peut-être pas tant de choses à t’apprendre. Tu me sembles être en avance et avoir déjà bien révisé.
    
    La foule se presse auprès du bar, J’abandonne Lucie pour aller lui chercher une coupe.
    
    Quand je reviens, je la retrouve en compagnie de notre damoiseau et d’une jolie blonde.
    
    — Ma sœur, Delphine, ...
    ... dit-il à mon arrivée.
    
    Lucie semble dégelée et prend plaisir à discuter avec lui. Je n’arrive pas en revanche à dérider sa sœur. Je la dévisage : grande et fine, avec un chignon assez strict et des formes là où il faut. Je sens l’agacement de ma nouvelle chérie, d’autant plus quand je lui demande d’aller remplacer le verre vide de sa nouvelle rivale.
    
    — Vous me la prêtez ? Je vous la rends à la fin du spectacle. Je vous verse le double de ce qu’elle vous a coûté ! dites-moi ! C’est une pute qui a l’air très efficace.
    — Je ne réponds pas immédiatement sous le coup de la surprise. Il rajoute :
    — En échange, prenez ma sœur, je vois qu’elle ne vous est pas indifférente, vous verrez, elle n’est pas aussi glaciale qu’il y parait, et vous n’aurez pas à la payer, me dit Antoine. Elle suce divinement bien et n’a pas de tabous. N’est-ce pas Delphine ?
    
    Lucie revient avec le verre. Delphine descend celui-ci avec constance en se réfugiant dans un mutisme glacé.
    
    La sonnerie retentit et appelle les spectateurs à regagner leur place.
    
    — Alors, je l’embarque, dit-il en saisissant Lucie par le bras.
    
    Ma chérie vient se blottir contre moi, proteste, restant polie :
    
    — Peut-être une autre fois, mais pas aujourd’hui !
    — Comme vous voulez, voici ma carte pour me contacter. Petite sœur, dis au revoir au Monsieur !
    
    Est-elle vraiment sa sœur ? Couchent-ils ensemble ?
    
    — Tu voulais vraiment me donner à cet homme ?
    — Pas te donner : te prêter, ou plutôt te louer et t’échanger ...