1. Mon oncle Paul


    Datte: 04/02/2024, Catégories: fh, hplusag, couple, oncletante, copains, cinéma, amour, fsoumise, hdomine, caresses, intermast, Oral amouroman, diffage, Auteur: Carla.moore – sergefra, Source: Revebebe

    ... glisse un doigt de ma main en haut de la jambe nue sous le fin tissu. Certes, je profite de la situation, mais Lucie ne me repousse pas, au contraire, est-ce juste pour remettre à sa place ce malotru ? Je me prends à espérer que non…
    
    Lucie se décolle de mes lèvres, se tourne vers le jeune homme.
    
    — Je vous souhaite un agréable spectacle.
    
    A-t-elle seulement reconnu ce plus jeune rejeton d’une célèbre grande fortune ? Nous nous installons dans notre loge.
    
    — C’était bien agréable, me dit-elle alors que je redoutais sa réaction.
    
    De l’autre côté, un étage plus bas, le jeune homme nous observe.
    
    — Quand même, quel toupet, ce type ! Regarde : il ne me quitte pas des yeux !
    — Enfonçons le clou !
    — Ne serais-tu pas tenté d’en profiter ?
    
    Je me penche vers elle, colle mes lèvres contre les siennes pour la faire taire et la tourne vers lui.
    
    Je pousse ma langue à la découverte de son palais, ses dents, ses lèvres. Quelle fraîcheur ! Je ne sens aucune réticence de sa part, et sa main m’attrape le cou pour me coller plus fermement. Feint-elle pour le freluquet ou cherche-t-elle son propre plaisir ?
    
    La cloche sonne, la lumière s’éteint, je la lâche et la laisse reprendre ses esprits… enfin, j’essaie plutôt de récupérer les miens.
    
    — Tu as aimé Paul ?
    
    Je pose ma main sur sa cuisse nue. Elle pose la sienne sur mon pantalon. Nous nous regardons et nous nous sourions. JE RÊVE !
    
    Khatia Buniatishvili apparaît sur scène, les applaudissements retentissent, elle ...
    ... salue la foule, s’assoit à son piano.
    
    Le bellâtre en face ne nous quitte pas des yeux.
    
    Les notes s’élèvent claires et détachées, la pianiste caresse les touches dont elle tire un son cristallin. La main chaude sur ma cuisse qui remue imperceptiblement au son clair du piano provoque en moi des frissons tout au long de ma colonne vertébrale. Je suis dans un état second, hypnotisé, je frissonne intensément d’émotions. Ce n’est pas que la musique qui remue mon cœur ainsi. Je sens le sang affluer à mon sexe qui grossit et durcit. Sa main s’aventure un peu plus haut, je ne bronche pas. Lucie me souffle à l’oreille :
    
    — C’est beau !
    
    Sa langue vient d’effleurer mon lobe. Je frissonne.
    
    Ses doigts continuent leur progression et rencontrent la barre de chair qui s’est formée sous le tissu. Ils s’arrêtent comme surpris. Puis en douceur, commence un mouvement vertical très lent.
    
    Au rythme du piano qui s’accélère et de la pianiste qui touche avec vigueur les rectangles d’ivoire et d’ébène, ses doigts s’agitent maintenant franchement sur ma hampe tendue. C’est absolument délicieux mais je ne vais pas résister longtemps ainsi. Elle se penche à mon oreille, la mordille et murmure :
    
    — C’est elle ou moi qui te touche ainsi ?
    — Chut !
    
    Elle retire sa main. Je la lui reprends et la replace.
    
    — Non !
    
    Elle me sourit, se blottit contre moi et me souffle :
    
    — J’aime cette sensation, je veux être à toi, te donner du plaisir ! Je veux que tu me guides.
    
    Je la regarde, le ...
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