1. Mission en Érébus


    Datte: 30/01/2024, Catégories: groupe, fh, ff, freresoeur, BDSM / Fétichisme Transexuels fgode, merveilleu, fantastiq, Auteur: Miss Arthur, Source: Revebebe

    ... donjon fut ouverte avec précaution et le drone pénétra dans ce dernier. Il rencontra un soldat dans un couloir et Lia commanda le largage de gaz. Le garde s’endormit apparemment sans avoir eu le temps de donner l’alerte. Nous entrâmes deux par deux, équipé·e·s de nos masques. Nous trouvâmes une première salle au rez-de-chaussée où dormaient quatre soldats. Ils furent endormis puis entravés et bâillonnés. Plus rien à cet étage, pas de trace des otages et du brouilleur.
    
    Circé raconte :
    
    Je ne saurais dire quelle heure il était, mais nous devons être en début de nuit, la salle où nous étions ayant de petites fenêtres. Nous avions des éclairages électriques, peut-être sur batteries. Les gardes venaient de nous nourrir, sous la surveillance de leur chef. Ils étaient cinq. Ils nous enlevaient nos bâillons et nous firent boire avec une paille, nous nourrirent avec une cuillère, comme des bébés. Certain·e·s de nos camarades de stage leur crachèrent à la figure, auquel cas ils arrêtaient de les nourrir. Je ne fis rien en ce sens, ayant retenu les leçons de mes parents : en opération, on mange et on se repose dès qu’on en a l’opportunité, le but est d’être opérationnel le maximum du temps. J’aimais bien ces réflexes enseignés par nos mères, je m’aperçus que je les aimais plus que tout. C’est alors qu’apparut un sixième garde qui alla directement vers le chef. Je l’entendis dire :
    
    — Mon colonel, je viens de faire un contrôle radio vers les sentinelles à l’extérieur et ...
    ... personne ne répond.
    — Merde, ils nous ont trouvés ! Nous sommes attaqués.
    
    Il prit sa radio et lança :
    
    — Alerte maximale, nous sommes attaqués, dispositions de combat. Bizarre, personne ne répond. Il n’y a que nous, ajouta-t-il.
    
    Les gardes cessèrent de nourrir les derniers camarades, mirent leurs masques à gaz et armèrent leurs fusils d’assaut. Ganelon avait fait de même. Tous se placèrent plus ou moins à couvert. Ganelon ordonna qu’on désentrave un des otages pour servir de bouclier. Oh non ! Ce fut Jéromine qui se retrouva malgré elle dans les griffes de Ganelon.
    
    — Venez, venez, venez, fit-il jubilant.
    
    Il tenait Jéromine par un de ses bras sous sa poitrine. C’est alors que nous vîmes arriver un objet volant dans la salle. Un des gardes tira dessus avec son fusil d’assaut et le drone tomba.
    
    Gwen raconte :
    
    L’escalier en colimaçon pour monter à l’étage était étroit et nous fûmes très prudent·e·s en le montant en file indienne. Arrivé·e·s sur le palier de l’étage, il n’y avait personne mais le drone donna l’information de la présence d’un équipement électronique dans une salle proche. C’était apparemment le brouilleur. Deux soldats de Valentin y pénétrèrent et revinrent en nous disant avoir pu l’arrêter, aucun ennemi ne s’y trouvait. Le drone fut envoyé vers l’ancienne salle des gardes mais nous entendîmes alors des coups de feu et l’image et le contact disparurent. Bon, la discrétion et l’effet de surprise ont leurs limites, cela fait partie du jeu. Lia donna ...
«12...121314...19»