La vérité sur Paul, Sylvie et Annie
Datte: 09/07/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... tais.
— Il se fait tard, il faut que je m’en aille, me dit-elle après deux ou trois minutes.
— Reste encore un peu, lui dis-je.
— Ce n’est pas grave, je dois partir, je dois me réveiller tôt demain matin, j’ai un cours de gym.
Au fond de moi je suis ravi qu’elle parte, je me lève avec elle. Elle prend son sac à main et va dans la salle d’eau. Deux minutes après, elle en sort en ayant refait ses cheveux et son maquillage. Elle a remis du parfum aussi, ce qui m’enivre.
— Je t’accompagne, dis-je.
— Pas la peine, j’ai pas peur.
Je mets ma main sur son bras, elle se rapproche, je l’embrasse.
— Je ne veux pas que tu t’en ailles, lui dis-je presque en l’implorant, reste !
— Non Amour, il faut que je m’en aille.
Puis elle met une main sur mon visage et palpe mes joues.
— T’as trop bu aujourd’hui, rappelle-moi demain, me dit-elle.
— Je n’y manquerai pas.
Je la vois disparaître dans la cage d’escalier, je rentre et ferme la porte.
Le lendemain, je me réveille à dix heure, je prends rapidement mon café puis je donne un coup de balai et je range le salon. Puis ensuite je frotte au détergent la douche et la cuvette de toilette et le lavabo. Après je me mets à la cuisine, je lave le tas de vaisselles et je mets un peu d’ordre dans le frigo. Vers midi, je prends une douche et je me rase, puis je change les serviettes et je les mets à sécher.
Vers treize heures Annie m’appelle, elle me dit :
— Tu as mangé ?
— Non, pas encore.
— J’ai fait une pizza, ...
... je peux t’en emmener
— Avec plaisir.
Je me verse un cognac et je me mets sur le canapé, bien content d’avoir fait le ménage. À travers la fenêtre, je vois un bout de ciel nuageux. Après un quart d’heure, elle sonne. Dès qu’elle entre, je l’entoure d’un bras, elle m’écarte délicatement :
— Je t’amène la pizza, mais je ne dois pas m’attarder, je vais chez Catherine cet après-midi, nous allons faire un peu de shopping.
En avançant dans le salon, elle déboutonne son manteau de cachemire bien trempé, je le saisis pour l’accrocher à la fenêtre. Elle porte un pantalon serré en chamois marron et un chemisier jaune à courtes manches, des escarpins à talons hauts, elle a un cul superbe.
— Un café, lui dis-je, il fait froid.
— Oui, avec plaisir.
J’entre dans la cuisine (quatre mètres carrés avec le frigo) et je mets en marche la machine à café sur le micro-onde, lui-même sur un petit meuble jaune de chez Ikea. Je reviens m’asseoir à son côté et l’enrouler d’un bras. Je tente de l’embrasser mais elle résiste.
— En attendant le café, je vais aux toilettes, me dit-elle.
— Bien sûr, lui dis-je étonné.
— Tu peux manger la pizza, j’ai déjà mangé, me dit-elle.
Elle s’enferme dans la salle de douche et je reviens à la cuisine, l’eau commence à bouillir et le café dégouline noir et visqueux. Je débarrasse la pizza de l’aluminium et j’arrache un petit bout, elle paraît délicieuse, mais je n’ai aucune envie de manger. Quand la cafetière se tait, je verse deux tasses que je ...