Séduction délicate de la soeur de ma mère (26)
Datte: 09/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... de dîner. Nous nous installâmes dans le salon pour déguster notre petit apéritif, le reste de rosé de la veille, comme un avant-goût des vacances. Installée face à moi, elle se releva aussi sec et cavala à l’étage pour redescendre quelques minutes plus tard. Je ne sus lequel des deux était en phase de séduction, mais ma tante avait ce don de toujours me surprendre. Elle s’était changée, autant pour me faire plaisir que pour être à son aise. Affublée de son éternelle robe de chambre avec une ceinture peu serrée, elle reprit place et m’adressa un large sourire en portant son verre pour trinquer.
Quand elle croisa à nouveau ses merveilleuses jambes, je ne me lassai point de contempler les courbes parfaites de ses mollets, agrémentés par des chevilles élancées. Véro constata mon appétence à son encontre et me fit observer qu’elle n’était pas l’unique chose dans cette pièce, non sans humour.
— Hum…Patrick, je lis dans tes pensées, ne l’oublie pas ! Ironisa-t-elle en s’approchant pour trinquer.
— Excuse-moi, j’étais complètement ailleurs. Oui tu disais ?
— Tu me dévisages et je me demande bien à quoi tu penses…ho là là comme je suis heureuse de partir demain ! S’exclama-t-elle en étirant ses bras vers le haut, en guise de victoire sur qui ? sur quoi ? ou peut-être sur son bien-être retrouvé.
— Ca va être cool avec la piscine et Patricia va être bronzée, la connaissant elle va se mettre seins nus.
— Et bien ne compte pas sur moi pour faire ce genre de choses, j’ai ...
... horreur de ça et c’est très mauvais pour la santé…et puis tu la connais. En vidant son verre.
— Allez hop au dodo, demain on part tôt.
Je ne fis pas d’allusions sexuelles pour obtenir un rapport avec ma tante, et dieu sait si j’en crevais d’envie. Je pensai à demain, en arrivant milieu d’après-midi, nous aurions tout le temps pour flâner au bord de sa luxueuse piscine.
Véro conserva sa chemise de nuit pour dormir. Depuis plus d’un mois, elle dormait avec et j’attendais comme un signe de sa part, le jour où elle l’enlèverait pour de bon, hormis le soir de notre prise de bec.
Arrivés à Bordeaux, Patricia, grande brune assez libertine nous accueillit à l’aéroport. Elle avait beaucoup de classe et avec son mari, Paul, ils étaient blindés question pognon.
Au volant de son puissant 4 x 4, elle nous raconta les changements opérés dans sa maison. Le large portail s’ouvrit et le bruit des graviers écrasés par son véhicule se fit entendre. Nous vîmes au loin ses deux dobermans arriver en furie, traversant la haie longeant la piscine.
Patricia insista pour que nous nous mettions à l’eau immédiatement, ainsi elle nous indiqua notre chambre au premier étage de sa vaste demeure et s’occupa de notre fils.
Ma tante ouvrit rapidement la valise et le temps de me donner mon maillot, je fus déjà à poil. Elle jeta un bref regard sur mon anatomie bien portante et un peu embarrassée, elle enleva à son tour son chemisier, puis sa jupe.
Je bandais comme un beau diable devant ...