1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (26)


    Datte: 09/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... s’engueule à nouveau.
    
    — Alors n’en parlons plus et oublions ? Lui demandai-je en la regardant débarrasser nos deux assiettes, sa robe de chambre désormais ouverte.
    
    — Oui si tu veux. Ajouta-t-elle en se rasseyant, songeuse.
    
    J’avais eu ma mère une nouvelle fois au téléphone dans l’après-midi et devant le manque de joie de vivre, le manque d’entrain de ma douce compagne, j’hésitai à aborder le sujet. Mais notre relation étant basée sur une profonde sincérité, je ne pus résister à lui cacher les propos de cette conversation.
    
    Attentive, Véro écouta les reproches formulés par sa grande sœur. Les rôles furent inversés, ainsi j’étais devenu le pestiféré de la famille. Ma mère avait retourné sa veste, elle n’accusait plus sa sœur, mais moi. J’étais devenu celui qui l’avait pervertie dans la luxure, qui avait abusé de ses faiblesses. Certes elle ne pardonnait pas à sa sœur, mais voyait en moi l’investigateur de notre acte immoral. Je terminai en lui expliquant qu’elle m’avait raccroché au nez.
    
    — Elle a coupé brusquement, mais pourquoi ? S’interrogea-t-elle en allumant sa première cigarette.
    
    — Je lui ai dit que j’en avais rien à foutre et que…
    
    — Que quoi Patrick ?
    
    — Que j’avais des sentiments très forts pour toi. Bon je parle trop. Rajoutai-je exprès, afin de voir sa réaction.
    
    — Euh non…non tu parles bien. Si je comprends bien, nous ne sommes plus les bienvenus chez tes parents. Remarqua-t-elle à juste titre en tapotant sur sa cigarette avec ses doigts ...
    ... fins.
    
    — C’est ma mère ! Elle est comme elle est et ça n’est pas moi qui vais la changer.
    
    — Au moins ce soir, tu te montres doux et compréhensif avec moi. Patrick je traverse une passe très difficile moralement et j’ai quelque chose à te dire. En se passant la main dans les cheveux, comme pour les aérer.
    
    Ce fut un geste très sensuel et malgré sa robe de chambre ouverte, Véro se montra peu disposée à faire autre chose. A vrai dire, elle ne s’en aperçut même pas en étant ailleurs.
    
    Soigneusement, elle éteignit sa cigarette et se leva. Toujours aussi superbe, elle ordonna à ses enfants, du bas de l’escalier, d’aller se coucher sans faire de bruit afin de ne pas réveiller Hugo. De retour à table et en pliant sa serviette pour mieux la déplier, elle me fixa du regard avec ses yeux bleus, ses mèches éparses sur ses épaules graciles, conservant son air songeur.
    
    Je n’eus qu’une idée en tête, la prendre sur mes genoux et la peloter de toute part. L’idée, quoique fort séduisante à mon goût, s’envola aussi vite quand elle enchaîna avec une longue tirade.
    
    — Ta mère m’a fait du mal, tu n’imagines pas à quel point. Elle reporte sa haine sur toi, mais ça n’est que passager. Je souffre Patrick, je souffre avec ce qu’elle a dit et au fond, elle n’a pas tort. Je suis en train de te gâcher ta vie, je te vole ta jeunesse et en plus nous avons fait un bébé ensemble, nous voilà liés en quelque sorte. Cette idée m’est devenue insupportable, tout comme le fait qu’elle soit au courant pour ...
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