Anne, mon amour
Datte: 18/01/2024,
Catégories:
fh,
couple,
poilu(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
amouroman,
totalsexe,
Auteur: François Angler, Source: Revebebe
... bord du lit et la tire vers moi par le poignet, elle se laisse choir et tombe à genoux sur le sommier. Elle me pousse en arrière, en exerçant une pression de la paume de sa main contre ma poitrine. Je recule pour venir m’appuyer le dos contre la tête de lit. Dans le même mouvement, elle avance à quatre pattes et finit à cheval sur mes cuisses.
Elle est en appui sur ses genoux, le buste en avant, sa poitrine touche la mienne. Elle me tient la tête entre ses mains. Son visage s’approche du mien, sa langue effleure mes lèvres, quelle délicieuse sensation ! J’ouvre la bouche, nos langues se cherchent, se mélangent, et notre excitation remonte doucement. Mes mains caressent son dos, le bout de mes doigts remonte le long de sa colonne vertébrale, lui provoquant des frissons.
Elle se cambre, bascule son corps en arrière, ses mains prennent appui sur le matelas. J’avance mon buste, ma bouche dépose un baiser dans son cou pour descendre lentement jusqu’à sa poitrine. Du bout de la langue, je lèche son téton gauche puis son droit, il me semble qu’ils sont toujours autant gonflés que lorsque nous étions sur le canapé. Je les suçote délicatement. Je les mordille mais sans chercher à faire mal. Je veux juste les agacer. Un dernier coup de langue, puis j’embrasse le cou offert de ma dulcinée qui a rejeté sa tête en arrière. Elle se laisse faire, passive pour le moment. Tous ces préliminaires ne me laissent pas indifférent, je sens mon pénis reprendre de la vigueur. Mais pour le ...
... moment, je bande encore mou.
Je sens Anne en attente presque impatiente. Elle s’emploie à me susciter une meilleure bandaison. En effet, je perçois des mouvements de son bassin qui se frotte imperceptiblement contre mon sexe. Et la perception de ce frottement contribue brusquement à accélérer mon état d’excitation. En quelques secondes, voilà que ma queue se redresse, mon gland est là, prêt à forcer l’entrée de son vagin. Je tends mon bras vers la table de chevet, elle arrête mon geste.
— Que cherches-tu ?
— Un préservatif…
— J’en ai glissé sous l’oreiller. Laisse-moi le dérouler sur ta bite.
— Quand les as-tu mis là ?
— Tout à l’heure, quand je suis venue me changer ici avant que nous sortions retrouver nos amis.
— Petite cochonne !
— Oui, je suis une cochonne et je veux être baisée par mon homme !
Elle a sorti de dessous d’un des oreillers un préservatif dans son emballage. Qu’elle déchire, puis le déroule avec une certaine dextérité sur mon gland violacé ! Ceci fait, elle tient mon manche bien droit et vient se placer au-dessus, et se laisse descendre doucement, mais sûrement, sur mon vît.
— Oh ! Enfin ! J’en avais tellement envie ! me dit-elle au creux de l’oreille.
Elle reste immobile, savourant la pénétration, avant d’activer les muscles à l’intérieur de son vagin autour de mon pieu. Quelle délicieuse sensation ! Je ne bouge pas. Je la laisse maître du jeu. Je ne suis que l’instrument de son plaisir. Je serre son corps contre le mien. Ses hanches ...