Anne, mon amour
Datte: 18/01/2024,
Catégories:
fh,
couple,
poilu(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
amouroman,
totalsexe,
Auteur: François Angler, Source: Revebebe
... queue suffisent. Et voilà que j’explose ma jouissance dans cet orifice buccal si accueillant. D’un hoquet, elle recrache mon sperme qui souille aussitôt son menton. Je tombe à genoux, anéanti par le plaisir prodigué.
Je lui prends le visage à pleine main et l’embrasse, dévorant sa bouche, ingurgitant ma semence au passage, lui léchant le visage pour la nettoyer. Rien de cela ne me dégoûte, bien au contraire, je trouve cela respectueux envers ma partenaire.
— Merci, c’était divin !
— Le plaisir était partagé et la nuit n’est pas finie.
— Tu m’as manqué, c’était trop long.
— Nos textos quotidiens… sans oublier nos sextos échangés il y a deux jours ne t’ont pas aidé à patienter ?
— Oui… mais j’ai surtout besoin de te voir, de sentir ton parfum, de t’entendre, de sentir ton corps contre le mien.
Elle m’embrasse soudainement. Nous nous enlaçons. Son corps nu et chaud contre le mien me fait un bien fou, me réconforte. Je caresse ses cheveux affectueusement.
— En fait, tu es un grand sentimental.
— Possible…
Elle s’échappe pour aller s’essuyer le visage avec de l’eau du robinet de l’évier. Elle dévore un second wrap.
Je retire totalement mon pantalon et mon boxer pour être plus à l’aise, donc me voilà entièrement nu devant Anne. Je n’ai plus honte de mon corps depuis que je l’ai sculpté grâce à des heures de musculation. Je l’expose à la femme que j’aime sans peur de son jugement. Je suis particulièrement poilu sur le bas ventre et les jambes. Anne m’a ...
... demandé assez vite de tailler cette jungle, j’ai acheté une tondeuse à barbe, et je la canalise régulièrement pour lui faire plaisir. Par contre, je suis totalement contre à me raser intégralement comme c’est la mode aujourd’hui. Les poils ce n’est pas sale ! Anne se rasait souvent le pubis. Je l’ai encouragée à conserver sa toison. Elle l’entretient chez Émilie, notre amie commune esthéticienne, où elle va une fois par mois. Et, j’adore ça !
Là, elle ne porte plus que son chemisier, qui ne dissimule que partiellement son triangle taillé et ses seins. Ainsi vêtue, elle n’est que plus désirable à mes yeux.
J’ai faim et mange à mon tour l’un des wraps que j’ai préparés. En mangeant le sien, elle m’a observé pendant que je finissais de me déshabiller. Elle s’approche de moi et retire son chemisier, le vêtement glisse jusqu’au sol.
— Tu es magnifique ! lui dis-je.
— Flatteur ! Tu aimes vraiment tous ces bourrelets disgracieux ?
— Je les adore. Je n’ai jamais su aimer une fille maigre. Pour moi, il faut des rondeurs.
Je caresse sa joue du dos de la main. Je m’approche pour l’embrasser à nouveau et sentir sa peau contre la mienne. J’en ai besoin. Elle me murmure à l’oreille :
— J’ai envie de te sentir en moi. Tu es le premier homme à qui je m’offre ainsi. Je suis si bien avec toi.
Je lui prends la main et l’entraîne à l’étage, sur la mezzanine, où est situé le coin nuit composé d’un lit double, face auquel se trouve une armoire avec un grand miroir. Je m’assois sur le ...