Années étudiantes coquines
Datte: 16/01/2024,
Catégories:
grp,
inconnu,
grossexe,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
fsoumise,
strip,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
confession,
jeux,
Auteur: Maelys, Source: Revebebe
... Cela m’excite au plus haut point de retirer mes vêtements et de voir leurs yeux parcourir les parties de mon corps dénudées. Oui, je suis excitée à l’idée qu’ils vont me dénuder, me toucher et surtout commenter mon physique, voire même plus, qui sait !
Ils retirent mon t-shirt et mon pantalon pour m’observer en sous-vêtements. Un ensemble tout simple en coton, pas très sexy.
— C’était évident, mais elle a vraiment une grosse poitrine. Rien que de voir son soutif, je bande, s’exclame Stéphane.
— Oui, c’est vrai, on a envie de les empoigner, de les malaxer, confirme Mickaël.
— Belle taille fine. Sa poitrine ressort bien… un bon 95 C, je dirais. Vire son jean !
— De très belles hanches, assez larges, pas désagréables à regarder, commente Mickaël.
— Oui, et ses fesses ont l’air bien fermes.
— Une silhouette vraiment bandante.
— Des courbes affolantes, je dirais, conclue Stéphane.
Me voici donc en sous-vêtements devant eux. Je sens que je mouille. L’idée qu’ils vont retirer les derniers voiles qui masquent le plus intime de ma féminité, ce qui transforme les hommes en mâles, les fait bander, m’excite. Certes, je suis réduite à l’état d’objet, mais cette mise à nue sans affect flatte mon goût pour l’exhibitionnisme. Mickaël s’approche de moi à nouveau.
— Allez, je dégrafe son soutif. J’ai hâte d’examiner en détail ses seins.
Stéphane empoigne à pleines mains mes seins :
— Ils sont gros et fermes. Ils se tiennent vraiment bien.
— Des aréoles granuleuses, ...
... assez larges, de gros tétons, renchérit son copain.
— Ses gros tétons sont durs et dressés. La demoiselle est excitée à l’idée de montrer ses mamelles, on dirait.
Me voici les loches à l’air et deux mecs qui me soupèsent les seins, me les malaxent et tripotent mes tétons. Délicieux ! Ils sont près de moi et me touchent comme des gamins devant une bonbonnière ouverte. Ils sont tout à leur affaire, examinant mes seins sous toutes leurs coutures. Je suis rouge comme une pivoine, dans un mélange d’excitation et de honte.
Ils lorgnent maintenant le seul rempart à ma nudité complète. Je mouille comme une folle et sans pouvoir le voir, j’imagine que ma culotte en coton doit le laisser voir ? Stéphane tire ma culotte vers lui et jette un œil sur ce qu’elle dévoile.
— Elle n’est pas épilée, notre Maelys. Notre étude va nécessiter qu’on la place dans une position propice.
Complice, Mickaël tire ma culotte vers le bas. Me voici toute nue devant eux, mes gros seins dardés et ma toison pubienne assez fournie, bien qu’entretenue.
Ils me conduisent vers mon lit d’étudiante sur lequel je m’assieds, toute rouge d’excitation, sans mot dire.
— Allonge-toi et écarte les jambes, qu’on se fasse une idée sur comment tu es faite intimement, demande Mickaël.
Les deux s’agenouillent et les voici placés entre mes cuisses. Stéphane pose la main sur mon pubis qu’il caresse et entreprend d’écarter mes poils avant de s’aventurer dans ma fente qu’il écarte sans ménagement. C’est curieux ...