Années étudiantes coquines
Datte: 16/01/2024,
Catégories:
grp,
inconnu,
grossexe,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
fsoumise,
strip,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
confession,
jeux,
Auteur: Maelys, Source: Revebebe
Deux mois après ma rencontre avec Kamal, qui a été mon premier amant, je me retrouve à l’université. J’entreprends des études de psychologies qui ne me serviront à rien dans mon futur métier. J’ai obtenu une chambre universitaire, compte tenu de la faiblesse des revenus de mes parents. Difficile, cette nouvelle vie. Je me sens isolée, ayant uniquement des rapports liés aux études. J’ai peu d’argent et c’est quasiment impossible de sortir sans risquer de mettre en péril mon petit budget.
Ma vie sexuelle est au point mort. Kamal est loin et il n’a jamais été question d’aller au-delà d’un amour de vacances, si bien que je m’occupe seule de mes envies sexuelles, même si je vois bien que je peux faire envie aux jeunes hommes dont je surprends parfois les regards sur mes gros seins ou mes hanches.
Un midi, après un cours dont l’un des sujets abordés est le fantasme dans la construction de la sexualité chez le préadolescent, deux garçons s’approchent de la table où je me suis installée. Ils sont drôles, voire pétillants, et me font rire. Le repas est agréable. Nous n’avons pas cours l’après-midi et quand Mickaël et Stéphane me proposent de réviser ensemble, je réponds par l’affirmative.
Leurs chambres sont « un vrai bordel »(Ah, les jeunes hommes !). Je leur propose de venir dans la mienne, parfaitement rangée, elle.
Je nous fais un café et nous discutons du cours, notamment de sa partie croustillante sur les fantasmes. Les garçons se regardent et me désarçonnent quand ...
... ils évoquent tous le deux que leur plus gros fantasme serait de pouvoir découvrir une femme nue qui se déshabillerait devant eux et qu’ils commenteraient.
Mon visage se ferme. Je me sens excitée par ce qu’ils disent. J’adorerais me mettre à poil devant des hommes et qu’ils me disent crûment ce qu’ils aiment, voire qu’ils me montrent leur queue dressée et qu’ils me baisent. D’un autre côté, je n’ai pas envie de passer pour la salope de la cité universitaire.
Ils voient mon embarras et me demandent si j’ai des tentations pour l’exhibitionnisme, arguant qu’ils m’ont bien confié leur fantasme. J’avoue qu’être vue à poil par des inconnus est un fantasme que je ressens fréquemment. J’hésite toujours. Ils le sentent, ils le devinent.
— Allez, cela restera entre nous. On peut s’amuser un peu, tu ne crois pas, lance Stéphane.
— Tiens, je te montre ma bite, comme ça tu auras de quoi me tenir si je décide d’en parler, renchérit Mickaël.
Il s’exécute, baisse son pantalon et son slip. Il est un peu bedonnant. Son sexe de taille moyenne est au repos. Rien de très excitant. Stéphane fait de même. S’il est plus mince, son membre n’est pas plus motivant que celui de Mickaël.
Ils se rhabillent tous les deux et m’interrogent :
— Alors, tu décides quoi ? On s’amuse, ou on en reste là ?
Je suis tentée et je me sens tellement excitée à l’idée que je décide d’accepter, sans savoir qu’elle sera la finalité de tout cela.
Ils me demandent de me mettre debout, tout simplement. ...