1. La lecture


    Datte: 16/01/2024, Catégories: Collègues / Travail collection, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, init, Humour Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... obsédée…
    
    Pourquoi pas après tout ! Que risquait-elle ? C’était très audacieux pour elle, mais Pénélope pourrait satisfaire sa curiosité et peut-être, en apprendre un peu plus sur l’érotisme. La jeune femme sentait son ventre toujours aussi contracté, comme en attente d’un plaisir renouvelé. La banane, longue et épaisse, la fit soupirer quand Pénélope posa les yeux sur le fruit. Bien que seule dans sa chambre, elle s’étonnait d’avoir honte des envies lubriques qui s’imposaient à elle. Pénélope soupira encore en posant une extrémité du fruit sur les délicates lèvres de son sexe. Puis elle gémit, tout le temps que la banane s’enfonça dans son intimité trempée.
    
    Pénélope en avait terminé. Elle avait envoyé un message privé à l’autrice que le hasard lui avait offerte. Si elle avait son franc-parler, Pénélope était peut-être plus directe et franche encore, quand elle écrivait. Elle félicitait l’autrice sans termes pompeux, et sans lui faire d’éloges. Elle expliquait qu’elle avait trouvé deux de ses récits très agréables. Après un temps de réflexion, Pénélope s’était décidée à assumer ses toutes récentes audaces. Sans qu’elle puisse se contenir, la jeune femme délaissait parfois son clavier virtuel pour faire bouger la banane. Elle soupirait chaque fois en sentant le fruit dur glisser en elle. Pénélope, avec sa naïveté habituelle, donnait ses impressions à celle à qui elle s’adressait. Si elle avait apprécié la lecture du premier texte, elle avait été très excitée par le ...
    ... deuxième récit. Elle n’appréciait pas l’exhibition et pourtant, la lecture du récit parlant de plage et de surfeur l’avait un peu chahutée, avant de la faire basculer dans le plaisir. C’était dit et même écrit, et Pénélope en avait les joues roses. Ou peut-être que cet aveu si intime à une totale inconnue n’était pas ce qui la faisait rougir ? Peut-être que les doux mouvements de la banane étaient la cause de ses émois ? Ou cet aveu l’excitait et la banane aidait au plaisir ressenti ? Un instant, l’idée de décrire à cette autrice ce qu’elle faisait l’effleura, mais cette fois Pénélope repoussa cette tentation trop perverse. Cette femme, à qui elle écrivait, restait une parfaite inconnue et pouvait mal le prendre. Ne lui avait-elle pas déjà dit qu’elle avait éprouvé du plaisir à sa lecture ? D’autres questions suivaient son avis sur sa lecture… Pourquoi l’autrice écrivait-elle de l’érotisme ? Aimait-elle le faire ? Lesquels de ses récits lui conseillait-elle ? Les personnages étaient-ils tous fictifs ? La Juliette G qui couchait ses histoires sur le papier, était-elle la Juliette qui les vivait ? Les aventures de cette Juliette, étaient-elles des aveux vécus ou de simples fantasmes ? Qu’éprouvait-elle en écrivant ? Enfin, Pénélope demandait la permission de lire ses deux textes à quelqu’un. En avait-elle le droit ? Puis, elle revenait sur le plaisir qu’elle avait eu en découvrant ces deux récits, promettant d’en lire d’autres très vite. Il ne restait plus qu’à attendre une réponse. ...
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