La lecture
Datte: 16/01/2024,
Catégories:
Collègues / Travail
collection,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
init,
Humour
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... balcon de monsieur A », un autre texte de Juliette G découvert sur un autre site de lecture par Pénélope. Une autre histoire dédiée à sa Juliette, héroïne coquine. L’objet en question n’était pas en laiton, mais en albâtre et surtout, n’avait rien à voir en taille, avec celui que manipulait cette perverse de Juliette. Pénélope avait laissé le cendrier rond sur le lit et avait gardé en main, le pilon blanchâtre. Puis, les yeux rivés à sa tablette informatique, la jeune femme, tout comme l’héroïne, obéit au désir du vieux voisin voyeur. Tout d’abord, Pénélope ne ressentit rien d’autre qu’une légère brûlure et contracta ses fesses, dans l’espoir de l’atténuer. Ce qui devait arriver arriva et Pénélope gémit quand son petit œillet goba le pilon d’albâtre froid d’un seul coup. La boule d’environ trois centimètres de diamètre, censée écraser les mégots de cigarettes, l’avait pénétrée, puis avait été engloutie par sa rosette plissée, avec comme de l’avidité. Juliette, sur l’écran, avait affaire à plus forte partie. Ses fesses avaient été ouvertes, par une boule de pilon bien plus grosse que la sienne. Les dialogues étaient crus et Pénélope enfonça un peu plus le pilon entre ses reins en geignant doucement. Un coup d’œil sur son ventre était inutile, elle sentait que son sexe débordait de jouissance et maculait ses cuisses. Juliette, sodomisée, sortait alors un olisbos et proposait une double pénétration au fameux Monsieur A, totalement emballé par cette initiative.
Les yeux de ...
... Pénélope délaissèrent l’écran, tandis que ses doigts tâtonnaient à la recherche de la tant attendue banane. Le fruit imprégné de cyprine, la possédant pleinement avant de l’abandonner et de reprendre ses droits presque aussitôt, était très proche de la porter aux nues de la jouissance. Pourtant, d’autres sensations inconnues freinaient la naissance de l’orgasme libérateur. Tout d’abord, Pénélope était chahutée par des pensées brutales. Elle se voyait en débauchée, en gourgandine perverse, en femme lubrique et avide de sexe. Ces pensées la perturbaient quelque peu, sans la contraindre cependant, à abandonner ses envies. Pénélope était bousculée par les va-et-vient, que sa main gauche imposait au pilon d’albâtre. La jeune femme sentait son petit orifice s’ouvrir et se refermer sans être capable d’analyser ce qu’elle ressentait réellement. Les sensations que Pénélope éprouvait étaient intenses, mais diffuses. Était-il possible que le plaisir qui la tenaillait puisse en partie provenir de la sodomie qu’elle s’administrait elle-même ? Tout à ses réflexions, la jeune femme décida d’en finir, et de satisfaire sa curiosité. La banane resta alors profondément enfouie dans son intimité détrempée, mais devint immobile. Pénélope cria doucement quand elle ressortit totalement le pilon de son étroit logement, avant de l’enfoncer à nouveau. Elle jouit avec une plainte rauque, alors que l’extrémité de ses doigts frôlait la chair tendre de ses fesses, poussant l’albâtre au plus profond de ses ...