La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1638)
Datte: 15/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... de son urine sur mes couilles, les écrasait doucement au sol. La douleur bienfaitrice me faisait partir dans un rêve, un délire de brume et de poussière qui m’emportait très loin, dans un état de conscience où ne demeurait que mon corps, mes sensations avec ma virilité écrasée sous le pied de ce pervers. La pression sur mes burnes allait crescendo, cet homme avait-il l’intention de me castrer, de m’ôter toute forme de virilité pour que je devienne réellement une salope de chienne ?
Cet homme brun aux cheveux frisés, ce délicieux pervers continuait à m’accabler. Il me prenait par la nuque me poussait vers le sol pisseux. Il me forçait à poser mon front sur ce carrelage, dans cette flaque d’urine. De son autre main, il repoussait sans délicatesse mes cuisses, jusqu’à ce que mes genoux soient bien écartés et que mes couilles pendent bien. Il donnait quelques pichenettes sur celles-ci, pour que la douleur me percute jusque dans mon bas ventre. Peu après, il posait sa main sur mon cul, massait du bout du doigt mon trou de salope.
- Lèche !, m’ordonnait-il.
Alors tout bonnement, en levrette prosternée, je posais mes lèvres sur ce carrelage froid, tirait la langue pour absorber ce liquide maintenant froid resté au sol. Je me laissais emporter par la situation, seulement concentré sur les sensations qui me parcouraient le cul et les couilles, à mesure que cet homme me touchait, me manipulait, se servant de moi comme d’une serpillière. Je ne pensais plus à rien, j’étais là, ...
... tout simplement, emporté par mon instinct le plus primal, mon instinct de proie, de chienne soumise à la recherche d’une passion supérieure encore, d’une soumission totale à ces hommes me détruisant complètement et me repensant selon leurs gouts et leurs envies. Ils glissaient en moi une nature d’esclave, brisant mes défenses et mon envie de fuir, éradiquant mon passé pour ne laisser qu’un futur d’esclavage et de déprave sexuelle. A cet instant, je songeais à des mondes meilleurs, où la baise prendrait toute sa place, où je n’aurai plus qu’à me soumettre, à ouvrir la bouche et le cul pour recevoir la semence de tous ces mâles en rut.
Le garde forestier sonnait l’heure du départ :
- Aller, allons travailler, allons retrouver Clara et Béa !
Alors les cinq autres bucherons se levaient, l’un d’eux, contournant la table posait son pied sur ma hanche et poussait. Je m’affalais au sol et restais là sans plus bouger. Ultime humiliation, ultime avilissement, ma place était ici à même le sol, rampant comme un simple invertébré ! Pourquoi à cet instant, des sanglots me prenaient la gorge ? Pourquoi des larmes roulaient sur mes joues ? Était-ce la fatigue, le trop plein d’humiliations, le trop plein de bien-être ? Markus avait une analyse bien différente.
- Mais ne t’inquiète donc pas la pute, tu vas les revoir… Ils vont revenir ce soir, après leur journée de travail… Avec les couilles bien pleines… Je suis certain qu’ils te prendront, sans modération, le cul… Et puis sache ...