1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1638)


    Datte: 15/01/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Clara ! A toute à l’heure, lui répliqua le garde-forestier, répondant à la place de Markus qui lui se contentait un signe de tête en signe d’amitié envers cette Clara !
    
    Quant aux hommes bûcherons, chacun à leur tour, donnaient leurs appréciations à Markus et Rémy sur mes capacités buccales :
    
    - Un bon tir jus !... Une suceuse comme j’aime !
    
    - Une vraie chiennasse !
    
    - Un sans-faute, bonnes lèvres, bonne langue, hâte de tester le cul vaginalisé de cette chienne !
    
    Le cinquième bucheron, celui aux cheveux bruns frisés, celui assis au plus près de moi, un pervers comme pas deux, n’avait jusqu’ici fait aucun commentaire. Il me regardait et m’offrait un sourire, avant de se racler la gorge. De là où il était, il me crachait au visage. Son mollard m’atteignait et s’écrasait entre mes deux yeux. Sans réaction, totalement abasourdi, je laissais la salive dégouliner le long de mon nez, jusqu’à ce qu’elle atteigne mes lèvres et me glisse dans la bouche. Elle avait un goût de bière et de tabac, elle avait un goût de tornade et d’horizon poussiéreux, elle avait un goût de déshonneur et d’outrage public. A l’entente du crachat, il y avait eu deux ou trois ricanements dans la pièce et lorsque ce gros malabar puant la testostérone se levait et se campait devant moi, je frissonnais d’angoisse.
    
    - Ouvre ta p’tite gueule de chienne !, m’ordonnait-il
    
    J’obtempérais, alors que lui déballait une nouvelle fois son matos de son jean étroit. Il tenait sa bite flasque sous mon nez, ...
    ... tapotait mes lèvres avec celle-ci, retroussait son prépuce odorant, puis restait immobile quelques secondes, comme concentré. Puis, soudainement un jet puissant éclaboussait ma gorge. Il me pissait dessus, dans la bouche, une bonne rasade qu’il m’ordonnait d’avaler sans sourciller. Il pissait encore, par saccades, me laissant le temps d’ingurgité, me laissant le temps d’être avili, rabaissé et déshonoré. Et comme cela ne lui semblait pas suffisant, il inondait mon visage, mon torse et mon abdomen de sa miction chaude, un jet dru ammoniaqué. Je restais là, inerte, docile me faisant gaver, arrosé de pisse, en bon loser que j’étais, jusqu’à ce que le pisseur n’ait plus rien dans le réservoir et que sa queue se taise. Alors, je tirais la langue, léchais les dernières gouttes restantes sur mes lèvres.
    
    J’étais là, détruit, plongé dans un abattement total. Mon esprit avait foutu le camp, ma réflexion et tout ce qui allait avec. Je sentais seulement le flux de soumission me traverser le corps tout entier. J’inspirai profondément et une odeur de mecs emplissait mes poumons, pénétrait mon cerveau et m’étourdissait plus encore. J’expirais puis inspirais encore et encore me laissant complètement emporter par cet arôme de mâles en rut. C’était comme si j’étais de nouveau pénétré alors que personne ne me touchait, comme si ces hommes imposaient toute leur force et leur personnalité à mon corps faible et vaincu. Le pisseur était encore là, debout devant moi. Il posait sa chaussure souillée ...