La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1651)
Datte: 14/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... cheveux blonds bouclés. Lui était rustre, grossier, sale, viril, j’étais à peu près le contraire, et tout cela a décuplé son envie de me prendre sans retenue, enfin, c’était ce que j’en déduisais dans mes pensées. Cette surexcitation l’avait aussi rapidement amené à la jouissance, et Daniel s’était répandu en moi avec ce long cri rauque d’animal qui allait me devenir familier. Malgré la douleur, j’avais très bien senti les contractions de son épais sexe planté au fond de moi. Il était resté encore de longues minutes en coït anale, continuant ses mouvements lentement, finissant de se vider. Sa grosse queue, immergée dans son plaisir, glissait maintenant beaucoup mieux. Enfin, épuisé, il se retira et s’effondra sur le lit, tel un reproducteur après sa fécondation.
Pendant qu’il somnolait à mes côtés, je me suis rappelé son expression, " je vais t’enculer, te défoncer, la pute !", en pensant qu’elle était très appropriée dans mon cas. J’avais eu vraiment très mal, comme s’il m’avait déchiré, mais j’étais en même temps content et fier de l’avoir fait jouir aussi fort. Je me suis allongé, calme, ayant perdu toute excitation depuis cet assaut douloureux, réfléchissant à tout ce qui m’était arrivé en si peu de temps. A la veille et la Domination de Pierre, à ces saillies à la discothèque, à ce fameux Marquis d’Evans et à ce qui en a suivi aujourd’hui à ce que je vis avec ce Daniel… Les sensations, avaient été éblouissantes et infiniment supérieures à celles que j’avais éprouvées ...
... avec des filles, mais j’étais extrêmement troublé par cette découverte d’une partie de moi-même que j’ignorais complètement avant l’expérience de la veille. En moins de 24h, j’étais passé d'un état de garçon attiré sincèrement par les filles à un état féminin soumis aux envies sexuelles de mâles en boite de nuit, et d’un mâle de surcroit laid et sale, mais qui m’avait donné des plaisirs insoupçonnés : je me croyais un homme, je me découvrais homo et surtout soumis, certainement ce vieux fantasme enfoui tout au fond de moi qui ne demandait qu’à se révéler.
La facilité avec laquelle j’avais accepté cette situation et "basculé" dans ce nouvel état m’étonnait beaucoup : Cette absence de résistance et de réflexion montrait qu'un pan inconnu de ma personnalité attendait avec impatience des rencontres de ce type. Et comme j’éprouvais maintenant une grande sensation de bien-être psychique et de calme, je commençais à réaliser que seule l’absence d’occasion m’avait fait ignorer ma vraie nature servile. Comme déjà dit, j'aimais sincèrement les filles, mais avec elles, il y avait toujours cette longue période de séduction, avec tout ce baratin hypocrite à faire la cour, puis cette espèce de lutte contre leur corps, la nécessité d’essayer, sans avoir la certitude d’y parvenir, de leur donner du plaisir sans bien comprendre leur libido. C’était un effort permanent qui diminuait mon plaisir. D’ailleurs, je n’avais jamais "doublé" les quelques fois où j’avais couché avec des filles, une ...