La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1651)
Datte: 14/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
juliensoumis au Château - (suite de l’épisode précédent N°1650) –
Puis, étendus côte à côte, nous plongeâmes tous deux dans un état de somnolence, jambes entrelacées…
Je ne sais pas combien de temps passa, mais je sentis une de ses mains me caresser de nouveau les fesses, ce qui me fit revenir à moi. J’étais couché sur le côté, une jambe légèrement repliée, et sa main explorait cet endroit qui, visiblement, l’intéressait beaucoup. Voyant que je me réveillais, il me lança sans équivoque :
- Alors comme ça, tu t’es donc fait défoncer hier soir, la petite salope !
Je ne pouvais nier les faits et je compris que ce fameux Marquis d’Evans l’avait mis au courant de ce qu’il avait constaté à la discothèque. Les gestes de cette main exploratrice, qui commençait à me faire rebander, me firent comprendre rapidement ce qu’il voulait.
- Oui Monsieur Daniel, lui répondis-je tout en sentant mes joues s’empourprer.
- Alors, je vais t’enculer, te défoncer, la pute !, Je veux profiter de ton cul de bâtard …
Son intention capitale, qui aurait dû me faire réfléchir longtemps, je la prenais pourtant en un quart de seconde, comme si j'avais perdu le contrôle de ma volonté. Daniel écarta alors mes jambes tout en continuant son massage vicieux. Puis, voyant que je réagissais à ses caresses, il vint présenter sa grosse bite à ma bouche. Malgré les traces de sperme à moitié séché accroché à ses poils, je m’en emparais avec entrain et m’appliquais à lui redonner sa première ...
... vigueur. Pendant ce temps, le Dominant s’appliquait à faire glisser ses doigts enduits de salive entre mes fesses, pour me préparer tout en pénétrant un doigt d’abord dans mon œillet, il le faisait aller et venir un long, très long moment, pour passer ensuite à deux doigts et finir avec trois doigts afin de bien dilater mes parois anales…. Puis il retira ses doigts inquisiteurs et me fit tourner sur le ventre, se mit en position entre mes jambes en m’exigeant de me cambrer. Daniel s’approcha et je sentis bientôt la chaude douceur de son gland humide entre mes fesses. D’une main, il le faisait glisser de haut en bas pour bien mouiller, me procurant ainsi des sensations extraordinaires, puis il le guida vers sa destination pendant que j’arrêtais de respirer. Lorsqu’il me pénétra l’anus d’un seul coup de reins, lentement mais avec force et sans s’arrêter, je poussais un cri de douleur.
Le sodomite semblait furieusement excité par cette saillie. En effet, je l’entendais souffler, ahaner comme un bûcheron en donnant désormais de grands coups de reins pendant que je serrais les dents afin de retenir mes cris. Et bien que sa lubrification augmentait, lui permettant de prendre son plaisir sans encombre, ma douleur ne diminuait toujours pas. Visiblement Daniel était très excité par mes fesses, bien rondes et sans poils, comme pratiquement tout mon corps dont la peau est très douce. J’étais aussi assez beau, avec des traits fins, légèrement féminins, sans être trop efféminé, sous des ...