1. L'été de mes 18 ans 37


    Datte: 13/01/2024, Catégories: Lesbienne Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica

    ... la courgette du sexe de sa tante et la regarda, toute luisante de mouille. Puis elle s'allongea sur le dos et se mit à se toucher l'entrejambe avec. Puis je vis qu'elle commençait à la faire pénétrer dans son minet en se mordant la lèvre. Cela m'excitait terriblement de la voir se masturber ainsi. N'y tenant plus, je m'approchai d'elle et lui pris la courgette des mains, continuant à aller et venir dans son sexe. Je la sentais s'élargir tout doucement tandis qu'elle gémissait de plus en plus fort. N'y tenant plus, j'approchai ma fourche de la sienne, enjambant ses cuisses.
    
    Je me mis à me caresser la vulve avec le bout de la courgette, tout en continuant mes va-et-vient. Puis je l'attrapais par le milieu et l'introduisis dans ma fente. J'approchai mon bassin. Je vis les yeux d'Aurélie chavirer en sentant mon minou s'approcher du sien. Hélas elle était un peu trop longue pour que nous puissions coller nos minous l'une à l'autre. Florence avait récupéré de son orgasme et suivait nos ébats avec intérêt. Elle vint s'agenouiller devant nous et se mit à embrasser sa nièce à pleine bouche. En même temps, elle s'empara de la courgette et la fit aller et venir du sexe d'Aurélie au mien. De l'autre main, elle nous pinçait alternativement les seins et ...
    ... agaçait nos boutons. « Ah mes petites chéries, vous allez voir! », murmura-t-elle. Les mouvements de bassin d'Aurélie et de moi-même étaient de plus en plus saccadés. Nous poussions toutes deux des cris de plus en plus aigus. Florence accéléra encore la cadence de ses va-et-vient et je vis les yeux d'Aurélie se révulser tandis qu'un orgasme puissant la terrassait. Elle se laissa tomber en arrière, le souffle court.
    
    Florence n'hésita pas une seconde. Elle me fit pivoter face à elle et prit la place d'Aurélie. Elle n'eut aucun mal à faire pénétrer la courgette dans son minet, celui-ci étant aussi trempé que la courgette. Puis elle approcha son bassin. Elle était plus profonde qu'Aurélie et cette fois-ci, nos minets se touchèrent. Je poussai un gémissement, tant la sensation était délicieuse. Florence se mit à me pincer les tétons tandis que ma main écartait les lèvres de son sexe pour un contact encore plus intime avec mon minet. Nous nous mîmes à nous frotter er à nous secouer à une cadence de plus en plus rapide, emportées par nos sens enfiévrés. C'est moi qui me laissai aller la première, mais Florence me suivit de peu dans un rugissement de bête. Nous nous laissâmes toutes deux choir sur le tapis, totalement exténuées. Aurélie ne valait guère mieux. 
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