1. L'été de mes 18 ans 37


    Datte: 13/01/2024, Catégories: Lesbienne Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica

    Je résistai un moment à l'idée de les rejoindre, mais je décidai de les laisser prendre du plaisir à deux. Je m'allongeai sur le canapé du salon et bien détendue par la séance de sauna, je ne tardai pas m'endormir. Des contacts sur ma peau me tirèrent doucement du sommeil. Je fis comme si je dormais encore. J'entendais les murmures de Florence et d'Aurélie qui me détaillaient de la tête aux pieds. « Hmmm, j'aime beaucoup ses seins, pas toi », murmura Florence. « Aurélie répondit : « Moi aussi, mais son minou tout lisse me trouble davantage. Il y a longtemps que j'ai envie de le goûter, mais je n'ai pas encore osé. ». « Eh bien profite, elle dort! », murmura Florence. Je sentis alors des mains douces se poser sur mes genoux et écarter doucement mes cuisses. Puis je sentis un souffle chaud sur ma fourche, puis une bouche qui embrassait doucement ma fentine. Je poussai un soupir, mais continuai à faire semblant de dormir. « Maintenant, sors ta langue et lèche bien toute sa fente... oui comme ça! ».
    
    « Hmmm, elle a bon goût, je crois qu'elle est déjà mouillée », murmura Aurélie entre deux coups de langue. « Bien! Ecarte délicatement ses grandes lèvres avec tes doigts », continua Florence. « Oh décidemment, j'adore son minou! ». « Alors, lèche bien entre ses lèvres, du haut jusqu'en bas. Tu sens son bouton? ». Aurélie lécha plusieurs fois mon sexe avant de répondre à sa tante : « Oui, il est déjà bien raidi ». Florence ajouta : « Tu peux lui donner des petits coups de langue, ...
    ... mais ne t'acharne pas trop vite dessus. Par contre, tu peux suçoter ses lèvres ». « Oh qu'est-ce que ça m'excite de la sucer comme ça », soupira Aurélie. Je la sentis sursauter et je me dis que Florence devait lui prodiguer aussi quelques caresses. « Oh, son bouton a encore grossi. J'ai trop envie de le sucer! ». Sa tante lui murmure : « Vas-y, ma chérie. En même temps, glisse un doigt dans son minou et fais-le aller et venir ». « Oh ma tante, j'adore quand tu me caresses... oui, comme ça, aaaah ». Je ne pus plus rester immobile et me mis à remuer le bassin sous les assauts d'Aurélie. Je sentis une jouissance prodigieuse me gagner.
    
    Avant de pouvoir éloigner Aurélie, je sentis un jet de liquide jaillir de mon sexe et éclabousser son visage. Elle recula, un peu effarée. « Mon Dieu, Claire, que t'arrive-t-il? », demanda Florence, surprise, elle-aussi ». Je répondis, rougissante : « Heu, je ne sais pas, c'est la première fois que je jouis comme ça! Une vraie fontaine ». Aurélie me sourit en murmurant : « Moi, j'ai vraiment aimé que tu m'arroses comme ça ». Je l'attirai sur moi et nous nous embrassâmes tendrement. Je lui murmurai : « Veux-tu qu'on s'occupe toutes les deux de ta tante? ». Elle me fit un signe affirmatif. Je la repoussai alors doucement et me relevai. « Trouve un foulard et reviens vite! Regarde aussi dans le frigo s'il n'y a pas un concombre ou une courgette », lui murmurai-je. Pendant son absence, je questionnai Florence : « Alors, comment était-ce? ». « Hmmm ...
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